L’organisation des 9èmes Jeux de la Francophonie est un miroir qui ouvre le pays sur d’autres horizons, notamment sur le plan sportif, culturel, économique et environnemental, a fait savoir le président national de la Ligue sportive pour la promotion et la défense des droits de l’homme (LISPED), Me Alain Makengo, au cours de la 11ème édition de la tribune organisée, lundi à Kinshasa en République démocratique du Congo.
«Nous devons nous unir autour de ces 9èmes Jeux de la Francophonie qui constituent un miroir qui va ouvrir le pays vers d’autres horizons, notamment sur les plans sportif, culturel, économique, environnement et tant d’autres», a déclaré Me Alain Makengo, avant de lancer un appel pressant à la population congolaise à s’unir autour de cette compétition internationale pour assurer sa réussite.
Il a souligné que l’organisation de ces jeux permet à d’autres communautés de venir découvrir le pays. «Notre pays à besoin de la paix, de la tranquillité, du développement. Et c’est ici l’occasion pour la LISPED de mobiliser le peuple congolais à s’approprier de cet événement. Ainsi, je salue l’implication manifeste du gouvernement congolais dans l’organisation de ces jeux en mettant des moyens conséquents pour la construction et la réhabilitation des infrastructures sportives», a expliqué Me Alain Makengo.
Et de préciser : «Les ouvrages chantiers seront prêts à 90% pour la réception de ces jeux que tout le monde veut que ça se passe dans la paix, le fair-play, l’amour. C’est un honneur et un privilège de voir comment le gouvernement à mobiliser les moyens pour la réussite de ces jeux. Voilà encore l’occasion pour la population congolaise et les sportifs en particuliers, de capitaliser cet événement en assurant au mieux la protection de ces ouvrages. Cela nous permettra d’être éligible pour organiser d’autres compétitions régionales et internationales. Je lance donc un message de civisme sportif à tous les supporters qui viendront dans ces installations sportives, de ne pas les détruire. Il faudra que les Congolais les gardent en bon père de famille». «Je demande à l’État congolais de mettre en place des mécanismes appropriés pour la protection et la gestion responsable de ces ouvrages», a conclu Me Alain Makengo.
Avec l’ACP