Dans un article récent publié ce 1er avril, jour traditionnellement associé au « poisson d’avril », une blague que l’on doit qualifier de mauvais goût ont été avancées concernant la relation présumée entre Jean Bakomito Gambu et le président ougandais Yoweri Kaguta Museveni d’Ouganda ou ses proches. Cependant, une caricature dans laquelle allusion est faite aux questions de la sécurité ou à la souveraineté nationale mérite d’être réputée.
Premièrement, les prétendus liens opaques entre le doublement élu de la ville, M. Jean Bakomito et Museveni Museveni, suggérant un financement suspect de sa future campagne électorale, relève purement et simplement d’une fiction ou d’un délire qui ne dit pas son nom et qui vise sournoisement à jeter le discrédit sur un patriote qui n’est plus à présenter et qui, en bon républicain, attend de pieds ferme, dans le cadre d’une raquette en erreur matérielle, sa réhabilitation en tant que député nationale élu de la ville d’Isiro. On se souvient de la liesse populaire provoquée récemment par la confirmation de son élection à la députation provinciale par la Cour d’Appel, dont les animateurs ont le mérite d’avoir témoins occulaires vécu du déroulement de tous les scrutins dans la ville où Bakomito a été massivement élu.
Pour se convaincre de l’intention de nuire que renferme cette blague 1er avril, on peut se rendre compte qu’elle ne fait aucunement allusion au fait que Bakomito est Président du parti ARDC, qui est aujourd’hui la première force politique du Haut-Uele et compte, dans le cadre de ses alliances avec d’autres forces politiques, la majorité des députés Provinciaux devant élire le Gouverneur du Haut-Uele.
Il suffit de vérifier les identités des personnes qui balancent ces chiffons pour identifier l’individu qui se cache derrière : Le candidat figurant Constant LUNGABGE, parce que c’est de lui qu’il s’agit, lequel s’est vraiment caractérisé dans la propagation d’une haine vicerale qu’il voue contre la personne de Jean Bakomito. Ce personnage sulfureux est malheureusement lié aux aventures de la tristement célèbre LRA qui a sèmé morts, enlèvement et terreurs dans le territoire de Dungu où vit depuis des décennies le sulfureux Constant LUNGANGBE connu comme aussi comme exploitant illégal des ressources minières. Ce personnage sombre, connu pour ses méthodes brutales et violentes, se révèle comme la copie certifiée conforme à Christophe Nangaa dont le départ est vivement exigée par l’ensemble de la population.
De plus, il est essentiel de souligner que la démocratie exige la transparence et la responsabilité, mais elle exige également le respect des droits d’autrui et la vérification des faits avant de formuler ne serait-ce qu’une blague de ce genre. Même si la politique peut être un terrain de jeu où tous les coups sont permis, il est inapproprié de propager des allégations sans fondement, même dans le cadre du traditionnel « poisson d’avril ».
Contacté par notre Rédaction, Jean Bakomito Gambu a déclaré : « Si ce n’est une confusion, c’est donc une blague faite dans le cadre du poisson d’avril ». Il a également souligné l’importance de rejeter les allégations infondées et de se concentrer sur cette élection du Gouverneur à laquelle toute les tendances le donne largement favori et quo attise la jalousie et la haine de la part de ses detracteurs.
En conclusion, il est impératif de rejeter les allégations infondées et de faire preuve de prudence face à de telles affirmations sans preuves tangibles. Accuser injustement quelqu’un de collusion avec un pays voisin sans preuve solide est non seulement diffamatoire, mais cela nuit également à l’intégrité du processus démocratique et à la réputation des personnes concernées.
CP