La théorie du complot mixte renvoie à un comportement visant à combattre, par tous les moyens, toute situation ou vision contraire aux intérêts du ou des comploteur (s).
Cependant pour qu’un complot réussisse, il a besoin de deux catégories conjointes des acteurs, à savoir : les concepteurs (puissances) des actions ou actes à poser contre le pays cible ; les exécutants sur le terrain !
Généralement les concepteurs agissent en clandestinité, donnent l’impression d’être loin des exécutants de leurs décisions. Toutefois pour qu’un complot réussisse, il a besoin des complices locaux sur le terrain (exécutants).
Ces complices locaux nationaux ne sont pas nécessairement au courant des objectifs du ou des comploteur(s) (concepteurs) mais ils reçoivent des avantages tous-terrains (corruptions insolites sans nécessairement avec une conscience éclairée).
Le complot contre Patrice Emery Lumumba
Les circonstances et la vraie raison de l’assassinat de Patrice Lumumba sont restées inconnues du grand public pendant des décennies. Les seules informations avérées dans un premier temps furent celles portant sur le rôle que Mobutu Sese Seko (alors chef d’état-major adjoint, en lien avec la CIA et le renseignement belge) et ses proches avaient joué dans la capture de Lumumba et de ses associés. Ce n’est qu’après près de deux décennies que les détails du crime ont commencé à être connus. Une enquête et des documents déclassifiés ont notamment mis la lumière sur le plus grand crime du 20e siècle, de par ses conséquences sur le destin de la RD Congo et de l’Afrique. Il a alors été établi que le meurtre de Patrice Lumumba a été ordonné, contrôlé et exécuté par les gouvernements américain et belge ; et facilité par des opposants congolais à leur solde. Sa mort n’était rien d’autre qu’un déni de la souveraineté politique et économique du Congo.
Pour assassiner Patrice Lumumba, les États-Unis, la Grande Bretagne et la Belgique ont utilisé tous les outils et ressources à leur disposition, y compris leurs agences de renseignement (CIA, …), le secrétariat général des Nations Unies, les rivaux politiques congolais de Lumumba et ainsi que des mercenaires tueurs.
L’heure de vérité apparaît à l’occasion des festivités consacrées à l’Indépendance. Moment d’un processus plus large, également généré par la division du monde entre les deux superpuissances sans passé colonial (les USA et l’URSS), au détriment des anciennes puissances coloniales (Angleterre, Portugal, Belgique, France) en juin, le 30 décembre 1960, le Congo proclame son indépendance de la Belgique. Parmi les forces politiques engagées dans la lutte pour l’indépendance, le Mouvement national congolais, dirigé par Patrice Lumumba, se distingue.
Les ambassades et stations occidentales de l’époque pensaient que le Congo connaît un effort communiste classique pour prendre le pouvoir.
De nombreuses forces sont à l’œuvre ici: Soviets… Parti communiste, etc. Bien qu’il soit difficile de déterminer les principaux facteurs d’influence pour prédire l’issue de la lutte pour le pouvoir, la période décisive n’est pas loin. Que Lumumba soit ou non réellement communiste ou qu’il joue simplement au jeu communiste pour aider son pouvoir à se solidifier, les forces anti-occidentales augmentent rapidement le pouvoir du Congo et il peut rester peu de temps pour agir afin d’éviter un autre Cuba». Pour contrer cette menace, on a proposé une opération visant à «remplacer Lumumba par un groupe pro-occidental».
Joseph Mobutu lui aurait fait un discours préalable sur le danger soviétique, un danger qui rôdait au Congo sous Patrice Lumumba. Si tel était le cas, alors la stratégie d’invoquer le danger soviétique prouvait une bonne connaissance de la position de la CIA à l’égard de Patrice Lumumba. Une fois le discours d’introduction terminé, Mobutu passe au contenu proprement dit: «Finalement, il a dit: « Voilà la situation: l’armée est prête à renverser Lumumba. Mais seulement à la condition que les États-Unis reconnaissent le gouvernement qui remplacera celui de Lumumba. Le gouvernement que nous mettrons en place sera provisoire et je resterai au pouvoir aussi longtemps qu’il le faudra pour chasser les Soviétiques du Congo et créer un régime démocratique ». « Et qu’arrivera-t-il à Lumumba et Kasavubu? ». « Les deux doivent être neutralisés », répondit-il sans hésitation. « Nous les remplacerons par des gens instruits, un gouvernement de technocrates, et je resterai à la tête de l’Armée ». Les paroles du feu président Mobutu pour rassurer ses commanditaires.
En résume, la fin des années 50, dans ce qui s’appelle encore le Congo belge, le colonialisme vit ses derniers soubresauts. Un ancien employé des postes, Patrice Lumumba, indispose particulièrement les autorités : orateur de talent et indépendantiste convaincu, il attire de plus en plus de partisans. En 1958, il crée le Mouvement National Congolais (MNC), premier parti formé sur une base nationale et non ethnique. Lumumba, trente-six ans, est arrêté. Il croupit en cellule, où ses geôliers le maltraitent, quand il en est brusquement tiré pour participer à la table ronde de Bruxelles qui doit décider des conditions de passage à l’indépendance. En effet, après les émeutes de Léopoldville (Kinshasa), le jeune roi Baudoin veut mettre un terme à quatre-vingts ans de domination belge.
Après la victoire du MNC aux élections législatives, l’indépendance du Congo est proclamée le 30 juin 1960, en présence du roi Baudoin. Mais aux festivités succèdent rapidement complots, trahisons et manœuvres étrangères. Avec une foi à toute épreuve, Patrice Lumumba se bat pour une indépendance sans concession au tribalisme, aux intérêts miniers et aux ingérences extérieures. Il est destitué par deux de ses amis, Joseph Kasavubu, qui devient président de la République, et Joseph-Désiré Mobutu, qui se proclame commandant en chef des forces armées et deviendra bientôt le dictateur du Zaïre.
Placé sous la protection des soldats des Nations unies, Lumumba est finalement livré à ses ennemis et déporté au Katanga, où le leader local, Moïse Tshombé, pour le compte de compagnies minières européennes, le fait assassiner avec deux de ses compagnons. Le nom même de Lumumba est rayé de l’histoire.
Le complot contre le Président Mzee Laurent Désiré Kabila
Mobutu devrait partir. Usé et corrompu par le pouvoir, il n’avait plus un message d’espoir à donner. Le 17 mai 1997, il a été chassé du pouvoir. Qui était véritablement derrière cette guerre ? Le 2 août 1998, une autre guerre éclatait pour défenestrer le tombeur de Mobutu : Laurent-Désiré Kabila. Qui sont les commanditaires de cette nouvelle guerre ? 12 ans après, les voiles sont en train de tomber, l’un après l’autre, pour livrer les premiers secrets. Il n’y a plus de doute : il s’agissait bel et bien des complots contre la République démocratique du Congo. Trêve de naïveté.
Les preuves s’accumulent autour de ce qui se dit sur l’existence d’un « complot international » contre la République démocratique du Congo. Le dernier élément est ce reportage sur la fin de Mobutu ; « Le marché des dupes ». Documentaire consacré à l’arrivée au pouvoir de Laurent-Désiré Kabila et ceux qui l’ont aidé à y accéder. Au-delà de ce documentaire, se dégagent des signaux incontestables d’un vaste complot contre la République démocratique du Congo autour de ces deux guerres : celles de 1996, quoique dite de libération et de 1998 Elles ont regroupés les mêmes acteurs, certainement pour les mêmes objectifs
La déclaration de Museveni, président ougandais dans ce reportage est clair : « La République démocratique du Congo est un obstacle entre l’Est et l’Ouest de l’Afrique ». En d’autres termes, pour parvenir à certaines fins, il fallait à tout prix « éliminer » l’obstacle : la République démocratique du Congo et pas nécessairement Mobutu
Six ans après, lors d’une conférence tenue à Dakar en 2004, Museveni en rajoute, selon le professeur Elikya Mbokolo dans une interview accordée au journal Le Potentiel : « Il y a toujours de tentatives de balkanisation. J’ai même vu en décembre 2004, lors d’une conférence des intellectuels d’Afrique de la diaspora tenue à Dakar, des participants offusqués d’entendre le président Yoweri Museveni expliquer qu’à côté de l’Ouganda, il y a un grand pays dont les habitants sont amorphes, les dirigeants inexistants…».
Envahit de cheval de Troie, c’est ce qui offusque lorsque l’on refait le parcours de la RD Congo, c’est de constater cette subtilité à dénigrer la République démocratique du Congo et ses dirigeants, comme si justement ce pays n’existait pas et que ses dirigeants n’avaient aucune légitimité de le représenter.
Alors qu’il fallait admettre et faire accepter l’agression contre la République démocratique du Congo, l’on a cherché plutôt à faire endosser à la RDC la mort des « Hutu rwandais » au Congo. Toutes les missions qui ont débarqué en RDC tenaient avant tout à découvrir les « fosses communes » plutôt qu’à examiner la plainte d’agression de la RDC. Et pour mieux enfoncer le clou, on a accusé la RDC de collaborer avec les «génocidaires ». C’est-à-dire les FDLR. Accusation grave aux yeux de la communauté internationale, et la RDC avait beau crier pour se faire entendre, rien n’y fit. Une fois de plus, dans ce documentaire, «Le marché des dupes », Museveni déclarait fermement que l’Ouganda et le Rwanda venaient de prendre leurs distances vis-à-vis de Kabila.
Cependant, deux ans auparavant, tous les alliés de Mobutu l’obligeaient à passer la main. Résistant au « changement », il a été obligé de se plier force à la même pression internationale La pièce de rechange, Laurent-Désiré Kabila a été également soumise à la pression internationale avec les « massacres de Mbandaka et Kisangani ». Résistant également, il devrait affronter une autre guerre avec les mêmes causes qui produisent les mêmes effets que ceux de 1996 Aussi, la guerre du 2 août 1998 ne pouvait plus surprendre.
A en croire certains analystes, cette guerre n’était que la suite de celle de 1996. Il fallait parachever l’œuvre entamée. L’AFDL ayant réussi à introduire « le cheval de Troie » en RDC, il fallait conclure. D’où ces coups de boutoir de toutes parts, marqués par la multiplication des groupes armés, des mouvements de rébellion soutenus par les anciens alliés de Laurent-Désiré Kabila. Et lorsqu’il dénonça cette alliance au regard de nombreux abus commis, il était trop tard. La suite est connue de tout le monde. Pire, les effets dévastateurs sont encore perceptibles à nos jours.
Le pillage économique, Ce qui est plus inquiétant, c’est le silence affiché par la communauté internationale sur la situation en RDC. Un silence complice doublé d’un comportement dubitatif au niveau du Conseil de sécurité. Et pourtant cette instance a mis huit mois pour reconnaître que la RDC a été agressée. Ensuite, elle a diligenté plusieurs missions d’enquête qui ont abouti aux mêmes résultats : le pillage systématique des richesses congolaises. Les noms des personnalités, des entreprises tant congolaises, rwandaises, ougandaises, burundaises, belges, américaines, britanniques, russes, françaises… ont été cités. Malheureusement, aucune sanction n’a été prise contre ces personnes et ces sociétés. Tout se passe comme s’il s’agit d’un fait divers mineur.
Et pourtant, ce pillage économique a entraîné la mort de près de 5 millions de Congolais – comme lors de la Deuxième Guerre mondiale – l’occupation d’une partie du territoire congolais par des armées étrangères. En lieu et place des actions concrètes pour ramener effectivement la paix en RDC, l’on assiste à la publication de nombreux « plans » pour affaiblir économiquement la RDC sur fond de balkanisation.
Il est des publications des rapports sulfureux mettant en cause les sociétés anglo-saxonnes sur le pillage des ressources naturelles de la RDC. L’on assiste même à un affrontement dans l’Est de la RDC entre les sociétés américaines, européennes et asiatiques pour le contrôle de l’or, du diamant, du coltan, du cobalt, du cuivre, du manganèse, etc.
Les Congolais doivent cesser de rêver. Nous subissions de plus en plus des massacres, des échecs ayant trait aux divers complots contre la RDC pour consacrer son inexistence en tant qu’Etat et Nation. Grâce aux sacrifices énormes consentis par le peuple congolais, ce complot est jusqu’à présent tenu en échec. Mais pour combien de temps ?
Si nous ne faisons rien au Congo, les autres vont s’installer chez nous. Le programme de balkanisation du Congo vient de certains voisins africains, notamment des voisins de l’Est. Cela vient aussi d’un certain nombre de géopoliticiens et d’hommes d’Etat qui pensent que l’avenir de l’Afrique appartient à de petits pays comme l’Ouganda, le Rwanda, le Congo-Brazzaville, le Gabon… et non pas à de grands pays comme la RDC, le Soudan, le Nigeria, ou l’Afrique du Sud. Donc, c’est à nous Congolais de faire preuve de patriotisme pour montrer que nous voulons vivre ensemble. Un message adressé à une certaine élite congolaise qui se laisse manipuler pour faire passer le message de ceux qui cherchent à balkaniser la RDC. Cette élite soutient des théories qu’elle ne maîtrise pas, parce que malléable. Car, même l’Union européenne l’OTAN, le G8, le G20, l’OMC, n’ont pas été faits au détriment de la France, de la Belgique, des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne, de la Chine ou du Japon.
Complot pour la déstabilisation et contre le développement de la RD Congo
En République démocratique du Congo, la région du Nord Kivu est au centre d’un conflit meurtrier qui a déjà conduit au déplacement de plus d’un million de personnes et certaines régions et localités sont sous le contrôle du M23, groupe terroriste créé par le Rwanda pour terroriser les populations civiles depuis les années 2010. Violence armées, sexuelles, kidnapping, enrôlement de force… Depuis novembre 2021, plus de 3000 civils ont péri lors des attaques du groupe terroriste. Or, l’ONU affirme que le M23 est soutenu par l’armée rwandaise qui l’approvisionne en armes et en hommes.
En octobre 2023, l’armée congolaise s’est allié avec les “Wazalendo”, une coalition formée d’autres groupes armés, afin de reprendre le contrôle des territoires au M23. Aujourd’hui toutes les routes pour accéder à Goma, la capitale du Nord Kivu, sont encore sous le contrôle du groupe terroriste.
Dans cette région riche en minerais rares, est contrôlé par les groupes terroristes sous la bénédiction et l’appui du Rwanda, à travers les différentes tentatives de déstabilisation afin de de mettre la main sur les ressources naturelles du sol et sous-sol congolais. Cette guerre des ressources sous-tend aussi un conflit ethnique alors que les hommes du M23 sont pour la majorité Tutsi rwandais à l’instar du président rwandais Paul Kagamé.
Dans ce contexte, le Président Félix Tshisekedi a tenu la fameuse communauté internationale comme « complice » du pillage des précieuses ressources présentes dans les sols du pays. L’Europe et ses besoins en minerais est la première visée, le Président Félix Tshisekedi accuse l’Union européenne de ne pas suffisamment condamner ces massacres pour servir ses intérêts économiques. Les relations de la RDC avec les pays européens se rafraichissent. Le soutien économique et politique à Paul Kagame de la part de l’Union européenne et de ses pays membres pose un problème.
Actuellement, l’exploitation illégale des ressources se poursuit par des réseaux structurés et par guérillas interposes. Le Rwanda et l’Ouganda conservent leur mainmise sur les richesses naturelles de l’est de la RDC. Ce pillage savamment entretenu représente une manne au détriment du peuple congolais.
Dès lors, en République Démocratique du Congo, pays où coulaient le lait et le miel, il n’y coule plus que des larmes et du sang. De là l’indignation, Nous déplorons le fait que la fameuse Communauté internationale ne fasse pas assez pour mettre fin à ces guerres et violences, en s’intéressant suffisamment à leurs véritables causes: le pillage des ressources naturelles. Elle s’est limitée à soigner les conséquences des guerres au lieu de s’attaquer avec détermination et de manière persuasive à leurs causes. Sur la même lancée, nous déplorons le fait que les souffrances et les vies humaines fauchées en RD Congo par ces guerres n’ont pas suscité la même indignation et la même condamnation lorsque cela arrive sous d’autres cieux.
Des voisins complices de la déstabilisation, Jamais dans l’histoire de l’Afrique, les litiges entre la République Démocratique du Congo et ses voisins n’ont envenimé le quotidien comme aujourd’hui.
Depuis belle lurette, les congolais ne se le cachent plus. La République Démocratique du Congo passe victime d’un complot d’agression et de déstabilisation menaçant de conséquence l’intégrité territoriale et bradant les ressources naturelles. De l’AFDL à M23 (Mouvement du 23 mars) en passant par le RCD (Rassemblement Congolais pour la Démocratie) et le CNDP (Congrès National pour la Défense du peuple), les gouvernements qui se sont succédé en République Démocratique du Congo n’ont cessé d’accuser le Rwanda et l’Ouganda d’agression déstabilisatrice.
La RDC est agressée par le Rwanda à travers les groupes armés interposés. La Mission de l’Organisation des Nations Unies au Congo et la fameuse communauté internationale pour ce qui se passe dans l’Est de la RDC font sourdes d’oreille. Nous constatons aussi, par ailleurs, l’allégeance de certains compatriotes aux groupes terroristes armés qui donneraient caution à la guerre qui sévit dans l’Est comme le cas de Corneille Naanga, Jean-Jacques Mamba, etc. Fort, il y a lieu de soutenir que la déstabilisation de la République Démocratique du Congo connaît la participation des acteurs aussi bien internes qu’externes, et cela démontre la mise en œuvre de la théorie du complot mixte.
En effet, contre le peuple congolais et son destin, contre sa sécurité et celle de ses biens, avec la complicité des multinationales, le congolais, «nègre de service», a trahi et continue à trahir au nom des appétits du pouvoir ou de l’argent; il devient l’acteur du complot ourdi contre lui-même et contre sa propre patrie. Lequel complot continue à développer des incidences sur le statut social, sur la vie et sur le réel de l’existence de tous les congolais.
Du dehors et du dedans, la République Démocratique du Congo fait face à un complot très pesant. Du dedans, au service de l’argent sale, beaucoup d’officiels congolais n’hésitent pas à pactiser avec le diable pour continuer à violer, à déstabiliser la RDC, à voler ses ressources naturelles. Ils préfèrent tirer profit de toutes les sources possibles au détriment de l’intérêt national. L’argent. L’erreur est de le considérer comme un but, alors qu’il n’est qu’un outil.
Ainsi sur cette question de complot mixte, nous recommandons l’institutionnalisation « d’un Tribunal pénal Ad hoc » pour des complots, des trahisons orchestrées contre la RD Congo, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis au cours des guerres qu’a connu la RD Congo. Un tribunal qui permettrait de connaître les « vrais commanditaires » de ces complots contre la RDC et leurs complices. Mais aussi les factures de différentes guerres.
Cette théorie doit être bannie dans les différentes situations que traversent les congolais, précisément la République démocratique du Congo, dans leur vie des Relations Internationales.
Ils doivent se déconnecter et se déraciner intelligemment des concepteurs ou instigateurs de ladite théorie pour son intérêt national, la paix, la sécurité, la stabilité et le développement de la République Démocratique du Congo.
Prof Tshimpe Kadima Lebon
Spécialiste en politique étrangère et relations internationales