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Fondation Vodacom et partenaires : un engagement collectif pour moderniser l’éducation en RDC

La Fondation Vodacom, aux côtés du Fonds de promotion de l’éducation et de la formation (FPEF), de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours et de MOS Multiservices, a inauguré ce jeudi des infrastructures éducatives de pointe à l’Institut Supérieur des Techniques Médicales (ISTM). Deux bâtiments neufs, deux rénovés, une salle numérique, six bureaux et des sanitaires modernes ont été mis à disposition des 9.000 étudiants (dont 70 % de jeunes filles) et du personnel. Cet investissement, salué par un parterre d’autorités dont Joséphine Ntumba Kankolongo (directrice de l’ISTM) et Patricia Kashabala (Fondation Vodacom), vise à renforcer la formation en sciences de la santé et à faire de l’institut une référence panafricaine. Lors de la cérémonie, Patricia Kashabala a exhorté les bénéficiaires à « saisir ces outils comme des leviers de changement », soulignant l’importance de l’accès des filles à la technologie : « Nous brisons ici les barrières. Osez rêver grand ! ». Le FPEF et l’Église des Saints des Derniers Jours ont réaffirmé leur engagement financier et leur volonté de reproduire ce modèle collaboratif. Le gouvernement, représenté par le directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Enseignement supérieur, a appelé d’autres universités à suivre cet exemple pour moderniser leurs infrastructures. Un projet symbole de coopération public-privé, tourné vers l’autonomisation des femmes et l’éducation 2.0.

La Fondation Vodacom, aux côtés du Fonds de promotion de l’éducation et de la formation (FPEF), de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours et de MOS Multiservices, a inauguré ce jeudi des infrastructures éducatives modernisées à l’Institut Supérieur des Techniques Médicales (ISTM). Cet investissement, marqué par la construction de deux bâtiments neufs, la rénovation de deux autres, l’aménagement d’une salle numérique, de six bureaux et de sanitaires modernes, vise à améliorer les conditions d’études et de travail pour les 9.000 étudiants (dont 70 % de jeunes filles) et le personnel de l’institution.

Un partenariat multiacteur pour l’excellence académique

L’événement, organisé en présence de Joséphine Ntumba Kankolongo (directrice générale de l’ISTM), Patricia Kashabala (Fondation Vodacom), des représentants du FPEF, de l’Église des Saints des Derniers Jours et du ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU), a célébré une collaboration exemplaire. « Ces infrastructures renforcent notre capacité à former des professionnels de santé compétents, prêts à répondre aux défis du continent », a déclaré Mme Kankolongo, appelant à un soutien accru de l’État pour hisser l’ISTM au rang de référence panafricaine.

Patricia Kashabala, directrice de la Fondation Vodacom, a insisté sur la portée transformative du projet : « Ces outils sont des leviers de changement. Utilisez-les pour repousser vos limites et inspirer vos communautés ». Profitant de la symbolique du mois de mars, dédié aux droits des femmes, elle a ajouté : « Trop souvent, l’accès des filles à la technologie est limité. Ici, nous brisons ces barrières. Vous incarnez l’avenir de la santé et du leadership : Osez rêver plus grand ! »

Un modèle à reproduire

Le directeur général du FPEF a salué l’engagement financier « décisif » de l’Église des Saints des Derniers Jours et la synergie entre partenaires, espérant voir ce modèle répliqué à l’échelle nationale. Le représentant de l’Église a, quant à lui, réaffirmé son soutien continu au FPEF, soulignant la « qualité irréprochable » des travaux réalisés.

Du côté gouvernemental, le directeur de cabinet adjoint de l’ESU a félicité l’initiative, incitant d’autres universités à suivre l’exemple de l’ISTM pour moderniser leurs infrastructures. « L’éducation est un pilier du développement. De tels projets montrent ce qu’une collaboration public-privé peut accomplir », a-t-il déclaré.

Vers une éducation 2.0

Ce projet s’inscrit dans la vision de la Fondation Vodacom de stimuler l’innovation éducative via des partenariats stratégiques. « Investir dans l’éducation, c’est investir dans l’avenir de la RDC. Nous souhaitons que ces infrastructures soient des tremplins pour l’excellence académique et l’autonomisation des jeunes, notamment des filles », a conclu Mme Kashabala.

Avec cette réalisation, les partenaires entendent non seulement répondre aux besoins immédiats de l’ISTM, mais aussi inspirer une dynamique nationale en faveur d’un enseignement supérieur accessible, moderne et inclusif.

Econews

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