Avant l’arrivée du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo au Palais de la Nation, la République Démocratique du Congo battait de l’aile. Mais aujourd’hui, notre pays reprend du poil de la bête grâce aux multiples réalisations tangibles notamment, la construction des infrastructures dans le cadre du Programme de Développement Local à travers les 145 territoires (les routes, les écoles, les hôpitaux, les belles aérogares, …), la gratuité de l’éducation, la gratuité de la maternité, la mobilisation accrue des recettes publiques grâce à la lutte contre la corruption, etc. Comment consolider ces acquis ? Voici mes dix (10) pistes à explorer.
Le fait pour notre peuple d’avoir réaffirmé sa prédilection pour le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en lui accordant ce second mandat qui lui permettra de parachever avec brio les chantiers structurels dont il est le précurseur dans notre pays, est une illustration du dévouement indéfectible que nous avons tous pour sa vision sur le développement de notre pays.
A titre d’exemple : depuis des décennies, le financement des dépenses publiques en RDC était totalement resté tributaire de la volatilité des cours des matières premières au point de nous faire oublier la myriade d’autres opportunités ou potentialités dont regorge la RDC. C’est pourquoi, le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a envoyé des signaux forts dans plusieurs secteurs, en mettant en exergue le fait que, pour son développement pérenne, la RDC a intérêt à diversifier ses sources de financement dans le but de sevrer son économie avec rigidité de sa dépendance irrépressible et incommensurable du secteur minier.
En ma qualité de communicateur de la patrie et «Tshisekologue» convaincu, j’ai pris avec joie et une volonté inébranlable, l’engagement d’accompagner le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo sur le plan communicationnel pour faire partie d’autres compatriotes qui s’ingénient déjà sans répit à briser l’incommunicabilité qui a tenté d’opacifier ses innombrables prouesses rendues possibles durant son premier quinquennat. Mon ambition est celle de faire usage du paradigme de la perceptibilité, socle d’une luminosité communicationnelle transversale qui prend en charge tous les secteurs structurants de la vie nationale. Comme tout le monde peut bien le deviner, cette tâche est rude, car elle requiert beaucoup d’exigences tant sur le plan matériel que sur le plan immatériel. Sans atermoiement, tout est désormais limpide : je m’offre en holocauste comme volontaire pour la communication du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Dix stratégies à mettre en œuvre
Pour plus d’efficience, et pour une consolidation concrète et optimale de ses acquis, je propose 10 (dix) stratégies ci-après :
Première stratégie : privilégier la méritocratie dans le choix des animateurs à tous les niveaux et investir davantage dans le capital humain. La RDC n’est pas encore totalement sortie de l’auberge. C’est pourquoi, l’engagement ferme de mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut, et surtout en temps opportun, dans le strict respect des règles d’éthique, devrait dorénavant chevaucher la gouvernance institutionnelle dans notre pays. En ce qui concerne l’autre volet relatif à l’investissement dans le capital humain, Il s’agit d’un ensemble des connaissances, aptitudes, expériences, talents et qualités accumulées par une personne, une équipe, ou une organisation, déterminant en partie ou en totalité sa capacité de travailler ou produire des biens et/ou des services pour elle-même et pour les autres au sein de la société. L’employabilité et l’inemplo-yabilité des congolais dépendent respectivement de leur adaptation et inadaptation aux exigences modernes dans le secteur de l’emploi ou de la création des richesses. L’investissement dans l’homme requiert son formatage qui doit s’acclimater à la gestion moderne avec un accent particulier sur l’éthique. En même temps, il y a la conscience qui entre en ligne de compte y compris le changement des mentalités et par conséquent, le changement du comportement. C’est ici où trouve une place de choix le secteur de l’éducation pour lequel nous tenons à féliciter le Président de la République pour les efforts qu’il ne cesse de déployer, en l’occurrence, la gratuité de l’enseignement.
Deuxième stratégie : la lutte sans merci contre les antivaleurs. Avant l’arrivée du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à la magistrature suprême, la RDC battait de l’aile. En sus de la situation socio-économique et politique désastreuses, notre pays était confronté à une avalanche de tares qui s’étaient érigées en véritables goulets d’étranglement, à savoir : la concussion, la corruption, le népotisme, le régionalisme, l’impunité, la mauvaise gouvernance, la permissivité, la liste n’est pas exhaustive. Au sujet de la lutte contre la corruption particulièrement, il faudra que le gouvernement de la république organise régulièrement avec l’appui de l’Inspection Générale des Finances, des campagnes de sensibilisation, la construction et le renforcement des capacités de toutes les couches sociales et surtout des gestionnaires à tous les niveaux pour purifier notre écosystème politique, économique et social.
Troisième stratégie : rendre notre justice plus opérationnelle et plus coercitive. Il est connu de tous que le fonctionnement de la justice est régi par les trois grands principes suivants : l’indépendance, la gratuité, et la publicité.
L’indépendance de la justice : l’article 149 de notre Constitution dit très clairement que le Pouvoir Judiciaire est indépendant du Pouvoir Législatif et du Pouvoir Exécutif. Faire respecter ce principe constitutionnel, permettra au gouvernement de mieux consolider les acquis du Président de la République sans beaucoup de difficultés. L’indépendance de la justice est une garantie pour des jugements impartiaux en faveur des justiciables (les personnes qui prennent part à un procès). Ce principe permet au magistrat de prendre une décision à l’abri de toute injonction ou pression extérieures.
La gratuité de la justice : A ce stade, c’est l’Etat qui rémunère les magistrats même si les justiciables doivent toutefois prendre à leur charge les frais de justice liés aux coûts des procédures et aux honoraires des avocats. Les personnes sans ressources ou dont les ressources sont modestes, peuvent être exonérées des frais de justice et peuvent solliciter de l’aide juridictionnelle. C’est alors l’Etat qui prend en charge les frais de justice en totalité ou en partie. Grosso modo, pour une indépendance effective de la justice, l’amélioration des conditions de travail des magistrats par l’Etat est une condition sine qua non qui ouvre la voie à des procès équitables, et cela constitue le gage d’un Etat de droit.
La publicité de la justice : lorsque nous parlons de la publicité, nous faisons allusion au fait que les audiences doivent être publiques et accessibles à tous, notamment en utilisant les médias de masse dans le but de ratisser large.
Quatrième stratégie : la diversification économique et la création d’une chaîne de valeur agricole. C’est la transition vers une structure plus variée de la production nationale et des échanges en vue d’augmenter la productivité, créer des emplois et poser les jalons d’une croissance économique soutenue, permettant de résorber la pauvreté. Assurément, le secteur agricole reste le mieux indiqué pour créer une véritable chaîne de valeur capable d’impacter positivement d’autres secteurs. Ici, c’est l’agribusiness qui va s’imposer au travers de sa contribution dans l’augmentation de la production agricole, la transformation et la commercialisation des produits issus de l’agriculture.
Cinquième stratégie : la construction des infrastructures des transports. Il s’agit de l’ensemble des installations fixes ou dynamiques nécessaires à aménager pour permettre la bonne circulation de différents modes de transports dans des systèmes des transports terrestres, aériens ou maritimes. Les infrastructures des transports génèrent des emplois et des activités économiques qui contribuent au développement. Elles permettent également de fournir des services y afférents pour favoriser le bon fonctionnement de l’économie.
Sixième stratégie : la réduction des dépenses publiques. Elle permettra d’engranger des ressources supplémentaires pouvant contribuer surtout à la création d’une classe moyenne ou intermédiaire, caractérisée par un niveau de richesse supérieur aux classes populaires (classe ouvrière et personnes en situation d’exclusion sociale) mais inférieur à celui de la classe dirigeante (Élite entrepreneuriale et administrative). Dans la même veine, l’action d’entreprendre ou de mener à bien des projets pour la création des richesses, devrait bénéficier d’une attention particulière du gouvernement de la république dans l’optique de déblayer le terrain de l’envol économique.
Septième stratégie : investir dans l’eau et l’électricité. L’eau et l’électricité sont indispensables dans tous les projets de développement.
Dans la perspective de placer la RDC sur la trajectoire des pays émergents, l’inoxydable Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a pour ambition légitime, d’industrialiser notre pays. C’est pourquoi, les investissements dans l’eau et l’électricité demeurent un enjeu majeur à prendre en compte pour atteindre les objectifs.
Huitième stratégie : l’investissement dans l’armée. Il servira de pilier pour cristalliser l’étanchéité de nos frontières. A ce sujet, je salue très sincèrement les efforts titanesques du chef de l’Etat dans le but de restaurer la paix et la sécurité, particulièrement dans l’Est de notre pays. Le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo est un Héros vivant car ses réalisations sont plus expressives que le simple verbiage. A titre illustratif, notre pays dispose aujourd’hui d’une ordonnance-loi portant programmation militaire, et des moyens importants sont mis à la disposition de nos forces de défense pour maintenir la sécurité nonobstant les velléités expansionnistes du Rwanda.
Neuvième stratégie : l’amélioration de la situation économique. Il est question ici de peaufiner beaucoup de stratégies visant la mobilisation décuplée des ressources domestiques en rationalisant les choix budgétaires et en améliorant la qualité de la dépense publique. Il s’agit aussi d’améliorer la coordination entre la politique budgétaire, et la politique monétaire. De manière plus explicite, l’élargissement de l’assiette fiscale demeure la clef de voûte pour respecter les engagements contenus dans les différentes Lois de Finances.
Dixième stratégie : l’amélioration de l’accès des congolais aux soins de santé de qualité. Après la belle initiative du chef de l’Etat sur la gratuité de la maternité dans le cadre de la couverture santé universelle, il est important que le gouvernement poursuive ses efforts visant la construction des hôpitaux et centres de santé à travers toute l’étendue du territoire national car c’est ça en d’autres termes l’une de meilleures réponses en rapport avec la justice sociale.
Pourquoi je crois en Félix Tshisekedi ?
En guise de conclusion, j’affirme ici à haute et intelligible voix que je suis Anicet Yomboranyama, commu-nicateur de la Patrie et Tshisekologue convaincu. Je suis un admirateur inconditionnel, incontestable et surtout incontesté du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo en raison du fait qu’il est sans nul doute le Président le plus crédible de l’histoire de notre pays, la RDC, pour avoir instauré la bonne gouvernance sur base de son leadership légendaire, caractérisé par la transparence dans la gestion de la chose publique.
Par conséquent, j’exhorte toutes les congolaises et tous les congolais à s’entrelacer au tour de la vision précieuse du Président de la République : il s’agit d’une vision qui va briser le cercle vicieux de la pauvreté dans notre pays. Soutenons Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo notre Héros vivant, faisons-lui confiance et soutenons-le avec sincérité pour le développement pérenne dont nous avons toujours rêvé. Malgré quelques défis résiduels qui tentent de ralentir l’élan du développement dans notre pays, et surtout malgré la jalousie de ceux qui convoitent nos richesses jusqu’à nous imposer une guerre injuste, la RDC vaincra.
(*) Le titre et les intertitres sont de la rédaction
Anicet Yomboranyama
Communicateur de la patrie et «Tshisekologue»