Paiement de la totalité des dettes antérieures, acquisition des matériels roulants et informatiques, formation du personnel, marketing de l’ARSP auprès de grandes sociétés dans tous les secteurs des activités économiques du pays, franche collaboration avec les institutions de la République et les structures fédératrices des entrepreneurs, accroissement des recettes, sont autant d’actions entreprises par l’actuel management de cet établissement public ayant pour objectif de développer une classe moyenne congolaise. Autant dire que le directeur général Miguel Kashal est en bonne voie pour matérialiser la vision du Chef de l’Etat, celle de créer des millionnaires congolais par la promotion de la sous-traitance en République Démocratique du Congo (RDC).
En très peu de temps après sa prise des fonctions comme directeur général de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP), Miguel Kashal Katemb a marqué les esprits et se positionne, à tout point de vue, comme un bon gestionnaire, celui qui a bien compris la vision ayant conduit à la création en 2017 de cet établissement public, à savoir le développement d’une vraie classe moyenne en RDC.
Avec l’équipe qui l’accompagne, Kashal Katemb traduit parfaitement en actes cette principale mission confiée à l’ARSP.
Le mode d’organisation, de fonctionnement et de gestion qu’il y a imprimé est, pour les observateurs neutres, du genre à couper l’herbe sous le pied de tous ses détracteurs.
Il a renforcé la collaboration de l’ARSP avec ses partenaires que sont les institutions (Gouvernement) et les structures fédératrices des entrepreneurs (FEC, Chambre des Mines, Club des sous-traitants, FENAPEC, COPEMECO et autres).
Le patron de l’ARSP a entrepris la vulgarisation de la Loi sur la sous-traitance et ses mesures d’application, accroissant ainsi la visibilité de l’entreprise à travers sa participation à tous les événements phares ainsi que l’affichage des missions de la structure sur les panneaux publicitaires. Cela, en même temps que la formation des Officiers de Police Judiciaire devant assurer le contrôle.
Bien plus, il a fait accélérer le recouvrement de la redevance légale due à l’ARSP. Ce qui lui a permis, grâce à une gestion rationnelle des fonds ainsi collectés, d’acquérir un charroi automobile fort de sept jeeps de marque GXR et six jeeps Land cruiser tout terrain. Une centaine d’ordinateurs, des caméras et d’autres compléments électroniques ont également été acquis pour faciliter le travail des agents.
Des actions qui contribuent grandement au rayonnement de son action au point de susciter l’ire de tous ceux qui avaient échoué là où Kashal est en train de réussir brillamment.
Il est important de rappeler que ceux-ci ne ratent aucune occasion pour fomenter toutes sortes d’affabulations et tenter désespérément de jeter un discrédit sur une action pourtant saluée par la majorité des partenaires et même par le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, qui a récemment reçu le rapport succinct des activités de l’ARSP, tout content, qu’il a marqué son approbation pour le lancement d’une mission de contrôle dans les sociétés principales.
La face cachée de l’iceberg
Une mission qui a révélé l’existence, sur le terrain, des sociétés prête-nom et autres stratégies de fraude détectées. C’est justement ces révélations qui ont conduit le directeur général de l’ARSP à suspendre momentanément la délivrance des attestations d’enregistrement jusqu’à nouvel ordre.
Une certaine opinion pense que c’est la crainte d’autres probables révélations qui pourront découler d’une autre grande mission de contrôle en vue dans les entreprises déjà enregistrées, qui pousse, dans un élan de fuite en avant, les détracteurs à obtenir la tête de Miguel Kashal et essayer de l’empêcher d’ouvrir la boîte à Pandore.
Sinon, les mérites de gestion de l’ARSP par Kashal sont reconnus et vantés par plusieurs opérateurs économiques de renom, notamment le Patron d’Ivanhoe Mines, Robert Friendland, et Georges Arthur Forrest, patron du Groupe Entreprise Générale Malta Forrest.
A savoir que la mission de l’ARSP est la régulation de toutes les activités de la sous-traitance dans le secteur privé avec en toile de fond le contrôle dans les entreprises. Il lui est également reconnu le droit de recouvrement d’une redevance de 1,2% sur le chiffre d’affaires des entreprises.
Avec le travail de visibilité de l’ARSP doublé de celui de la vulgarisation des activités, plusieurs opérateurs économiques jadis réticents au contrôle et au paiement de cette redevance, ont commencé à honorer leurs obligations légales. Il s’en suit que les caisses de l’entreprise sont renflouées. Mieux, les entrées financières ont doublé à date. De quoi permettre à l’ARSP de réaliser ses ambitions comme le recrutement du personnel pour certaines directions et l’acquisition des moyens de locomotion ainsi que d’autres outils de travail, à la grande satisfaction des agents qui sont payés à temps et ne connaissent aucun arriéré de salaires.
A tout prendre, la gestion de l’actuel DG de l’ARSP montre des signaux forts susceptibles de faire de l’ARSP le créateur des millionnaires congolais. Étant donné que tout est fait pour permettre aux PME congolaises de bénéficier des gains de la mise en œuvre de loi sur la sous-traitance en RDC.
CP