Dans une volonté de renforcer ses liens avec les médias et de promouvoir un journalisme responsable, Vodacom Congo a organisé, jeudi à Kinshasa, une session d’échange et de formation sur l’éthique journalistique au Silikin Village. Réunissant plusieurs partenaires de la presse, l’événement a mêlé déjeuner de presse, networking et renforcement des capacités, avec un accent particulier sur les défis posés par l’intelligence artificielle (IA) dans le secteur médiatique. Patricia Kashabala, responsable des relations extérieures de Vodacom Congo, a souligné l’importance d’une collaboration étroite avec les médias pour une information fiable et équilibrée. En parallèle, Bruno Mbolison (CSAC) et Moïse Esapa (BALOBAKI CHECK) ont alerté sur les risques de désinformation liés à l’IA, tout en appelant à une vigilance accrue et au respect des principes éthiques. Une initiative qui s’inscrit dans la stratégie de Vodacom Congo pour un écosystème médiatique transparent, au service d’une société mieux informée.
Dans une démarche visant à consolider ses relations avec les acteurs médiatiques, Vodacom Congo a organisé jeudi une session d’échange et de formation sur l’éthique journalistique au Silikin Village. Cet événement, marqué par un déjeuner de presse et des discussions enrichissantes, a rassemblé plusieurs partenaires médias autour des enjeux de l’information responsable et de l’impact croissant de l’intelligence artificielle (IA) dans le secteur.
Un engagement en faveur d’un journalisme responsable
L’initiative s’inscrit dans la volonté de Vodacom Congo de promouvoir une collaboration étroite et transparente avec la presse. Patricia Kashabala, chargée des relations extérieures chez Vodacom Congo, a rappelé l’importance d’une information fiable et équilibrée pour une société mieux informée.
« Les médias jouent un rôle clé dans la diffusion de l’information. Il est essentiel de renforcer nos partenariats pour garantir une communication éthique et responsable », a-t-elle déclaré.
La formation a permis aux journalistes présents de rafraîchir leurs connaissances sur les bonnes pratiques journalistiques et d’aborder les défis posés par la transformation digitale, notamment l’intégration de l’IA dans les rédactions.
L’intelligence artificielle : opportunités et risques pour les médias
La rencontre a également été marquée par l’intervention de Bruno Mbolison, vice-président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), qui a alerté sur les dérives potentielles de l’IA dans le paysage médiatique.
« L’IA peut amplifier la désinformation, manipuler l’opinion publique et menacer la crédibilité des sources légitimes. Les journalistes doivent rester vigilants et s’en tenir aux principes éthiques », a-t-il souligné, appelant à une régulation renforcée pour préserver l’intégrité de l’information.
Du côté des médias en ligne, Moïse Esapa, représentant de BALOBAKI CHECK, a partagé son expérience dans la lutte contre les fake news et les discours de haine. Il a pointé du doigt les dangers de l’IA, comme la création de faux contenus et la diffusion virale de fausses informations, tout en saluant les efforts de collaboration avec des organisations comme la MONUSCO pour contrer ces menaces.
Cette rencontre s’inscrit dans une stratégie plus large de Vodacom Congo pour favoriser un écosystème médiatique sain et transparent. En initiant des échanges réguliers avec les professionnels des médias, l’opérateur télécoms réaffirme son engagement en faveur d’une information de qualité, essentielle au développement démocratique.
Avec des sessions comme celle-ci, Vodacom Congo entend renforcer la confiance avec ses partenaires médias et accompagner l’évolution du journalisme à l’ère du numérique.
Filiale du groupe Vodacom, Vodacom Congo est un leader des télécommunications en RDC, engagé dans l’innovation et la responsabilité sociétale, notamment à travers des initiatives en faveur de l’éducation numérique et de la lutte contre la désinformation.
Econews