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Mines : Kizito Pakabomba propulse la RDC en tête des Investissements directs étrangers en Afrique

Sous le leadership visionnaire de Kizito Pakabomba, ministre des Mines, la République Démocratique du Congo (RDC) s’impose comme la nouvelle étoile montante des investissements miniers en Afrique. Selon le rapport 2024 de Standard & Poor’s, le pays caracole en tête des juridictions africaines pour les Investissements Directs Étrangers (IDE) dans l’exploration minière, avec 130,7 millions de dollars mobilisés en 2024. Une performance portée par le cuivre, qui capte 55 % des fonds, et renforcée par des partenariats stratégiques, dont un accord « sécurité contre minerais » en négociation avec les États-Unis. Alors que le continent africain, détenteur de 30 % des réserves mondiales de métaux critiques, ne capte que 10 % des investissements globaux, la RDC incarne une exception saluée par S&P. Entre rigueur managériale, innovations technologiques (à l’image de l’IA déployée par KoBold Metals) et réformes fiscales, le secteur minier congolais pourrait générer 4,38 milliards USD de recettes cette année. Un succès qui consacre la métamorphose d’un secteur autrefois chaotique en un modèle d’attractivité, sous l’impulsion d’un ministre issu de l’élite énergétique internationale, ancien du géant francais TotalEnergies.

Sous l’impulsion du ministre des Mines, Kizito Pakabomba Kapinga Mulume, la République Démocratique du Congo (RDC) s’impose comme un pôle d’attraction majeur pour les Investissements directs étrangers (IDE) dans le domaine minier. Une reconnaissance officialisée par le dernier rapport de l’agence Standard & Poor’s (S&P), qui classe le pays en tête des juridictions africaines pour les dépenses d’exploration en 2024.

Avec 130,7 millions USD investis dans l’exploration minière cette année, la RDC devance la Côte d’Ivoire (122,1 millions USD) et l’Afrique du Sud, selon les données de S&P Global Market Intelligence. Le cuivre, essentiel à la transition énergétique mondiale, capte à lui seul 55 % des investissements congolais, soit 71,5 millions USD. Cette performance s’inscrit dans un contexte africain contrasté : bien que le continent abrite 30 % des réserves mondiales de métaux critiques (cobalt, lithium, etc.) et domine la production aurifère, il ne mobilise que 10 % des investissements globaux en exploration, estimés à 12,5 milliards USD en 2024.

Le rapport souligne une concentration des investissements autour de l’or et des minerais critiques. Au Ghana, 15 millions USD sont alloués au lithium, tandis que la Tanzanie consacre 30,3 millions USD au nickel. Malgré ces montants, l’attractivité minière du continent reste fragile. En 2023, quatre pays africains figuraient parmi les dix moins attractifs selon le Fraser Institute. La RDC, elle, mise sur un partenariat innovant avec les États-Unis, négocié par le président Félix Tshisekedi : un accord «sécurité contre minerais » visant à renforcer les IDE.

Au cœur de cette stratégie, l’entreprise américaine KoBold Metals, soutenue par Bill Gates, ambitionne d’exploiter l’intelligence artificielle pour localiser des gisements dans le Tanganyika. Son PDG, Kurt House, décrit la RDC comme « le meilleur endroit au monde » pour les matériaux critiques. Une confiance renforcée par la liste étendue de 50 minerais stratégiques américains, tous présents en RDC, de l’aluminium au zirconium.

Gestion rigoureuse et perspectives économiques

Le rapport de S&P salue la gouvernance rénovée du secteur minier congolais, rompant avec l’ère du « far-west » (1996-2018). Sous l’égide de Pakabomba, ancien cadre de TotalEnergies, le pays anticipe des recettes minières de 4,38 milliards USD en 2024, soit 41,3 % des revenus de l’État. Taxes sur les expatriés, permis d’exploitation et redevances minières en sont les principaux leviers.

Si des défis persistent, la RDC incarne désormais un modèle émergent de gestion minière, alliant rigueur internationale et opportunités technologiques. Avec Kizito Pakabomba aux commandes, le pays aspire à une ère de prospérité durable, attirant autant les investisseurs que les regards admiratifs des institutions financières mondiales.

Filiale de McGraw-Hill, Standard & Poor’s est l’une des trois principales agences de notation financière, célèbre pour son indice S&P 500. Son historique inclut la rétrogradation inédite de la dette américaine en 2011, marquant son influence sur les marchés globaux.

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