Des négociations directes sont engagées entre la BGFIBANK RDC et le Gouvernement

Des négociations directes ont été engagées jeudi à Kinshasa entre le Gouvernement et la BGFIBANK RDC. C’est qu’a annoncé Jules Alingete, patron de l’IGF (Inspection générale des finances), dans une correspondance dont Econews a consulté une copie. Les deux parties sont en pleine négociation pour trouver une voie de sortie qui serait favorable à tous. Mais, au-delà de l’alerte lancée dernièrement par la Banque centrale du Congo qui a fait malheureusement l’objet de diverses interprétations dans la presse locale, jusqu’à prédire une banque au bord de la faillite, les nouvelles sont plutôt rassurantes. Avec le plan de « Renaissance », engagée par la BGFIBANK RDC, l’avenir est plutôt rassurant au sein de cette banque qui affiche un total bilantaire plus que rassurant.

Depuis son implantation en République Démocratique du Congo, le Groupe BGFIBANK RDC SA ne cesse d’attirer le feu des projecteurs. A chaque fois que cette banque pense bâtir sa renommée et son réseau d’agences en RDC, une campagne de diabolisation est lancée par des personnes mal intentionnées pour saboter ses efforts.

Les auteurs et les exécutants de la campagne de déstabilisation contre BGFIBANK RDC SA, doivent savoir que chercher à déstabiliser cette banque de renommée panafricaine est un risque qui doit-être analysé au-delà même d’un simple horizon partisan.

BGFIBANK RDC : une banque solide et prospère

Contrairement à une certaine opinion qui s’est lancée dans une interprétation particulièrement de l’alerte lancée par Mme le gouverneure de la Banque centrale du Congo sur la BGFIBANK RDC, il y a lieu d’apporter un cinglant démenti sur ces allusions qui ont pu biaiser le jugement de l’opinion tant publique que celle de ses journalistes ou analystes qui se sont penchés sur ce dossier, emportés sans doute par la passion et les illusions avancées par la campagne des médias internationaux en cours dont le seul but est de discréditer la BGFIBANK RDC qui ne se gêne pas de revendiquer son appartenance africaine.

«Par quelle coïncidence la lettre de la BCC se retrouve sur la place publique, juste au moment du lancement de cette campagne internationale contre BGFIBANK RDC !» Quelle synchronisation ?

Après recherche et analyse sans passion de la correspondance de la Banque Centrale du Congo faisant état de la situation de BGFIBANK RDC SA, il semblerait que les spéculations, créant équivoque sur des éventuels problèmes de rentabilité et de détérioration de sa situation au point de préoccuper l’autorité de régulation et de contrôle, soient erronées.

«Cette lettre qui est une correspondance authentique de la BCC rapporte l’invitation de la Banque Centrale du Congo à BGFIBANK RDC pour une séance de travail habituelle, en y relevant les points de discussion à étudier», indiquent les sources internes à l’Autorité de Contrôle.

La coutume veut qu’après transmission des états et reportings de toutes les banques auprès de la BCC, qui est l’autorité de surveillance de toutes les institutions financières du pays, un courrier ordinaire est adressé par la Banque Centrale du Congo à toutes institutions financières concernées par des points d’attention particulières, afin de les relever pour sujet d’échange, par rapport aux états et rapports préalablement transmis.

C’est dire que cette lettre de la Banque Centrale du Congo adresse ses constats à BGFIBank RDC sur les charges de structures élevées et qui absorbent l’essentiel de sa production bancaire, une charge de structure due à ses investissements et ambition de développement.

Le constat est que BGFIBANK RDC se fixe des ambitions de développement claires et établies telle que traduites dans son nouveau plan stratégique quinquennal, dénommé «MBOTAMA YA SIKA» : «La Renaissance ».

Après l’ouverture de sa nouvelle agence de Lubumbashi, reconditionnée proportionnellement à ses ambitions de développement et aux standards très haut de gamme se référant à sa clientèle cible (haut de gamme), il est difficile de penser qu’une telle institution, qui pense à son expansion, soit en même temps en train de craindre pour son avenir. C’est soutenir une chose et son contraire à la fois.

A travers le développement de son ambitieux réseau de distribution automatique de billets, en cours de déploiement dans le pays, le développement de ses solutions digitales afin de désengorger ses agences face à une clientèle en essor permanent, il est difficile de croire que cette banque fasse preuve d’un quelconque dysfonctionnement dans sa gestion.

Il faut souligner, avec ferveur, que BGFIBANK RDC SA a reformé totalement sa gouvernance depuis 2018. La banque est désormais détenue à 100% par BGFI Holding Corporation, sa maison mère.

A cet effet, elle a entamé cette même année la procédure de l’obtention de sa «Certification AML 30000» sur la base de son dispositif de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, mis en place afin de clore totalement et définitivement son histoire avec le passé. Une Certification que la banque a finalement obtenue en 2020.

A noter que cette filiale du plus grand groupe bancaire panafricain d’Afrique Centrale, qui affiche un total bilan de plus de 7 milliards de dollars américains et des fonds propres de près de 800 millions de dollars US, n’a rien à craindre sur un probable résultat provisoire négatif, comme repris dans une correspondance ordinaire de la Banque Centrale du CONGO.

En effet, convenez avec nous que la majorité des faits réchauffés et rapportés aujourd’hui dans les médias internationaux avaient déjà été publiés le 29 octobre 2016 dans le numéro du journal Belge «Le Soir», sur la base des révélations d’un ancien agent de la Banque.

Pourtant, plusieurs enquêtes menées par la Banque Centrale du Congo et les instances judiciaires compétentes – dont les autres sont encore en cours – ont prouvé que les événements sont bel et bien pris en charge par les instances judiciaires de la République Démocratique du Congo afin de lever tout équivoque sur ces dossiers et de définir les responsabilités de chacune des parties mises en cause dans ces affaires.

Qu’est-ce qui se cache derrière cette vaste campagne exercée contre la filiale congolaise de la BGFIBANK ? Difficile à comprendre.

Toujours est-il que les esprits illuminés continuent d’être surpris par l’acharnement de certains médias, tant nationaux qu’internationaux, sur le sujet. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, on se retrouve donc en face d’un nouvel épisode de la manipulation économique concernant la fuite de la correspondance de la Banque Centrale du Congo à BGFIBANK RDC.

La coïncidence des faits intrigue. C’est la preuve évidente d’une volonté manifeste de ternir l’image de marque de la BGFIBANK RDC SA.

Econews

BGFIBank : Le Groupe s’ancre dans la performance

Le panafricanisme, on le sait, a souvent gêné certains intérêts tapis à des sphères insoupçonnées. Et cela a instillé des hostilités qui ont abouti à l’assassinat de beaucoup d’élites africaines. Mais on serait doux rêveur, si l’on pense mortes les velléités d’avoir l’idéal panafricaniste. Pis, elles sont devenues plurielles et multiformes. Et le domaine où elles végètent est le monde des finances.

En fait, toute initiative visant à asseoir une entreprise performante estampillée panafricaine est sujette à une cabale de plus pernicieuses. La preuve par la BGFIBANK, dont l’acuité managériale fait des jaloux. Lisez la suite…

Une santé financière 2021 qui rend malade

Si en relations humaines, les actes parlent mieux que les paroles, en activités bancaires, les chiffres parlent mieux que les mots. Et, l’année 2021 se déchiffre en épanouissement à BGFIBank.

Le 22 octobre dernier, présidé par M. Henri-Claude Oyima, le Conseil d’Administration de BGFI Holding Corporation, procédant à l’arrêté  des comptes semestriels au 30 juin 2021, a publié un tableau des états financiers éblouissant des performances adossées aux orientations du projet du groupe dit Dynamique 2025. Les résultats obtenus en cette première année de la marche vers l’objectif, ont fait l’accord des esprits compétents, bluffés par la vision managériale qui a su naviguer avec aise, malgré les turbulences induites par le perturbateur minus du Covid-19 qui a pourtant terrassé beaucoup de séniors du milieu.

Le Groupe a pu ainsi consolider ses fonds propres dont la situation nette s’établit à 475 milliards FCFA, rehausser les encours de crédits à la clientèle de 5% et favoriser la croissance des dépôts de la clientèle de 5%.

Adversité de rumeurs

Le résultat net du Groupe a même augmenté de 88%, suscitant fierté et sentiment du travail bien fait chez les membres du groupe, mais aussi, donnant des urticaires à des concurrents éberlués qui n’ont plus que les rumeurs à distiller pour espérer atteindre un adversaire qui les dépasse et qui n’a que faire de ces coups d’épée dans l’eau. Il a même fallu tordre la main aux responsables pour qu’ils publient un avis à la clientèle, tant ils estiment inutile de démentir des rumeurs dont le propre est de ne pas exister.

D’ailleurs, les réseaux sociaux, cette rue des herbes folles, utilisés pour véhiculer ces contrevérités, ne pouvaient résister à la constance des chiffres assis par la BGFIBANK.

Carte d’identité bancaire

La BGFIBANK, qui a démarré en début 2021 son nouveau Projet d’entreprise «Dynamique 2025», est un Groupe financier international multi-meìtiers alliant solidité financière, stratégie de croissance durable et maitrise des risques, avec l’ambition d’être la banque de référence sur ses marchés. Il accompagne ses clients particuliers, entreprises et institutionnels dans une relation durable, avec une gamme de produits et services élargie.

En effet, 2.206 collaborateurs présents dans onze pays accompagnent au quotidien une clientèle diversifiée au Gabon, au Congo, au Cameroun, en Côte d’Ivoire, en France, en Guinée Équatoriale, au Bénin, à Madagascar, en République Démocratique du Congo, à Sao Tomeì-et-Principe et au Sénégal.

Tiré de Afriquemidi.com