Le Vice-Premier Ministre (VPM) de l’Économie nationale, Daniel Mukoko Samba, est devenu l’atout maître de l’Union sacrée de la nation. Depuis son retour au Gouvernement en juin 2024, le VPM a aligné cinq succès économiques majeurs et quantifiables qui ont mis tout le monde d’accord, du citoyen au FMI. Réduction historique de la facture pétrolière de 281 à 31 millions de dollars US, hausse de 1.560 % des recettes fiscales minières, baisse des prix du carburant à la pompe, et amélioration de la stabilité des prix alimentaires : ces résultats concrets confèrent au gouvernement une crédibilité nouvelle, mais dérangent les adversaires de Félix Tshisekedi qui tentent de les minimiser. L’économie est désormais le cœur de la bataille politique.
L’arène économique congolaise connaît une transformation spectaculaire et le Vice-Premier Ministre en charge de l’Économie nationale, Daniel Mukoko Samba, en est l’artisan incontesté. Depuis son retour au Gouvernement en juin 2024, le professeur a réussi à forger un consensus rare, alignant cinq succès majeurs qui non seulement rétablissent la crédibilité du pays auprès des partenaires internationaux comme le FMI, mais offrent également à l’Union Sacrée de la Nation un argument politique et social de poids à l’approche des futures joutes électorales. Des pompes à essence aux marchés alimentaires, les effets de sa gestion rigoureuse sont désormais palpables.
Les files d’attente qui étaient monnaie courante devant les stations-service de Kinshasa ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Le prix des denrées essentielles recule, et les caisses de l’État sont plus solides. Ces changements profonds découlent de la volonté de Daniel Mukoko Samba d’engager des réformes dont les chiffres parlent d’eux-mêmes : les impôts versés par les sociétés minières ont bondi de 1 560% en quelques mois, et le pays a réduit sa facture pétrolière de 281 millions de dollars à seulement 31 millions.
Ces statistiques ne sont pas de simples lignes dans un rapport technique ; elles se traduisent par plus de pouvoir d’achat pour les ménages et moins de dettes pour l’État, faisant de Mukoko Samba une pièce maîtresse du Gouvernement Suminwa.
LES CINQ PILIERS DU SUCCES ECONOMIQUE
Le VPM de l’Économie a imposé sa marque à travers cinq indicateurs clés qui illustrent son impact :
- Baisse audacieuse des prix des carburants à la pompe. Dans le cadre de la politique présidentielle de lutte contre la vie chère, Mukoko Samba a audacieusement suggéré et obtenu la réduction des prix des produits pétroliers à la pompe. En octobre 2024, le prix du litre d’essence et de gasoil a été abaissé de 13 % à Kinshasa. Le prix de l’essence est ainsi passé de 3.340 à 2.990,49 FC, et celui du gasoil de 3.435 à 2.979,73 FC, un niveau qui se maintient quasi-stable depuis près d’un an. Cette mesure a eu un double effet : soulager directement les ménages et, selon le Ministère de l’Économie, faire progresser la consommation de carburant de près de 50 % en avril 2025.
- Réduction historique de la facture pétrolière et des subventions. Le deuxième succès, salué par le Chef de l’État lui-même, concerne la gestion des pertes et manques à gagner dus aux entreprises pétrolières. En un an, Mukoko Samba a réussi à faire chuter les sommes dues aux sociétés pétrolières de 281 millions de dollars en 2023 à 31 millions de dollars US en 2024, soit une économie historique de 250 millions de dollars pour l’État. Cette performance, qui représente une baisse de 89 %, a non seulement mis fin aux pénuries, mais a aussi valu au VPM les éloges du FMI (Fond monétaire international). Le chef de mission du FMI, Calixte Ahokpossi, a officiellement salué cette nouvelle gestion, soulignant qu’elle renforçait la confiance des partenaires financiers.
- Réforme minière : le bond de 1.560% des recettes fiscales. Le troisième coup de maître est venu de la réforme du processus d’acquisition de carburant par les entreprises minières. Depuis juillet, ces sociétés sont désormais contraintes de s’approvisionner légalement et de respecter leurs obligations fiscales, mettant fin à un système de subventions opaques. Le résultat est tout simplement impressionnant : les recettes mensuelles ont bondi de 4 milliards à 63 milliards de francs congolais, soit une augmentation spectaculaire de 1.560 %. Cette initiative, qui vise à instaurer la transparence et à lutter contre la fraude dans le secteur pétrolier, devrait être étendue prochainement à d’autres secteurs stratégiques comme l’aviation et les télécommunications.
- Stabilité et baisse des prix pour le panier moyen. Au-delà des grands agrégats financiers, le VPM a enregistré des succès sur le front social. Les données collectées via l’application « Talo » montrent une stabilité générale des prix à Kinshasa, malgré des hausses sur le haricot et le poisson salé. Plus significativement, le suivi des prix dans le Grand Katanga et le Grand Kasaï – régions où la farine de maïs est un aliment de base – indique une baisse généralisée des prix de 1 à 15 % entre février et mai 2025. Cette amélioration traduit une meilleure régulation et une logistique plus efficace, améliorant le pouvoir d’achat des consommateurs.
- Restauration de la crédibilité économique. Ces résultats ne sont pas de simples coïncidences, mais le fruit d’une politique de bonne gouvernance et de rigueur budgétaire. La reconnaissance par le FMI et la satisfaction du Chef de l’État témoignent d’une crédibilité économique restaurée après des années de critiques.
UN BILAN QUI DERANGE ET QUI CONSOLIDE
Ces résultats tangibles transforment progressivement le paysage politique. Au sein de l’Union sacrée, on reconnaît désormais que le professeur Mukoko a su « mettre tout le monde d’accord » par la seule force de l’efficacité administrative. Ses succès économiques se muent en atout stratégique pour le camp présidentiel à l’approche des prochaines échéances politiques.
« Ces résultats dans les secteurs sociaux constituent des réponses concrètes du Président Tshisekedi et de son Gouvernement envers le peuple », souligne un membre de la majorité présidentielle. Cependant, cette dynamique positive ne fait pas que des heureux. Selon cette même source, « les succès obtenus par le vice-premier ministre semblent perturber les stratégies de certains acteurs politiques, ayant des agendas discrets contre Félix Tshisekedi », alimentant une « campagne de désinformation visant Mukoko Samba ».
Le parcours de Daniel Mukoko Samba depuis un an démontre une vérité souvent oubliée en politique : les réalités économiques finissent toujours par s’imposer. En ancrant son action dans des indicateurs mesurables et vérifiables – prix à la pompe, facture pétrolière, recettes fiscales – le ministre a construit une crédibilité qui transcende les clivages partisans. Alors que la RDC navigue dans un contexte international volatile, la question qui se pose désormais est de savoir si cette embellie économique pourra se muer en capital politique durable pour l’Union sacrée, face à des adversaires déterminés à en minimiser la portée.
Une certitude s’impose : Mukoko Samba a redéfini les standards de l’action économique gouvernementale, établissant une nouvelle référence dont ses successeurs devront désormais tenir compte.
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