Dans les prochaines échéances électorales de 2023, il faudra compter sur un nouveau-né sur la scène politique congolais. Enfin, le parti politique, « Leadership et Gouvernance pour la Développement (LGD) », est là. Certes, LGD arrive dans un paysage politique congolais où il y a pléthore de partis politiques, mais il attend innover dans ses méthodes et dans son projet de société. Son offre politique est portée vers l’émergence de la République Démocratique du Congo par la promotion d’un nouvel homme congolais. Il s’agit de susciter une nouvelle classe de bâtisseurs d’un grand pays au cœur de l’Afrique. Pour y arriver, LGD fonde son action sur le binôme « Leadership et Gouvernance » pour accompagner le rêve de « bâtir un pays plus qu’avant ».
Qui veut aller loin ménage sa monture, dit un vieil adage. Il y a 32 ans, la République Démocratique du Congo, alors Zaïre, se lançait dans la démocratie. L’apprentissage a été douloureux, mais le chemin parcouru est élogieux. Entre-temps, les Congolais, Zaïrois à l’époque, ont brillé par une prolifération de partis politiques. A ce jour, la RDC en compte plus de 400. Ce qui, malheureusement, ne se manifeste pas dans l’amélioration des conditions de vie du Congolais moyen. Bref, les partis politiques n’ont pas répondu aux grandes attentes de la population. Qui pis est, l’alternance démocratique, issue de la présidentielle de décembre 2018 – pourtant saluée par l’ensemble de la population congolais – peine à convaincre.
Déçu et au bord du désespoir, le peuple congolais et à la recherche d’une nouvelle offre politique. Il veut être guidé par un type nouveau de leader guidé par le seul désir de relever la RDC, un pays à genoux. C’est cette offre rarissime que personne n’a réussi à présenter au peuple qu’apporte un nouveau-né dans le paysage politique. C’est le parti politique « Leadership et Gouvernance pour le Développement (LGD)». Son crédo se résume en un mot : le changement en ouvrant la voie à l’émergence de la République Démocratique du Congo. Il se veut «un parti politique ouvert à tous, devant produire un nouveau type de leaders pour notre société, pour restituer à notre pays et à l’Afrique sa grandeur et sa dignité».
Pour y arriver, LGD s’appuie sur une recette qui a ses preuves sous d’autres cieux. Elle est bâtie sur le binôme « Leadership et Gouvernance », convaincu qu’«aucune nation ne peut se développer sans un leadership fort et une gouvernance de qualité». Il se propose d’être une «école politique d’excellence, promotrice des énergies nouvelles et des intelligences révolutionnaires dont le pays a besoin».
Des pays, moins nantis en ressources naturelles, sont passés par ce binôme pour émerger. Quoi de plus normal que la RDC emprunte la même voie. C’est l’offre politique que propose LGD. C’est une offre qui attend susciter un nouveau Congolais, dans le sens de ce qu’a prédit, il y a un demi-siècle, l’ancien président américain J.F. Kennedy : « Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays ».
A ce titre, LGD appelle le Congolais à l’éveil collectif en dressant leurs fronts, longtemps courbés, pour bâtir dans la paix, la dignité et le travail, un pays plus beau qu’avant.
Des signaux qui rassurent
Un pays en crise comme la République Démocratique du Congo a besoin des hommes et des femmes déterminés pour sortir le peuple de la misère et le pays du sous-développement. Pour y arriver, ces acteurs doivent se prémunir des compétences. Il ne suffit pas de vouloir. Il faut avoir un minimum de capacités pour arriver à des résultats probants.
Pour le cas de la RDC, il faut des hommes et des femmes capables de prendre des risques dans une forme de développement accéléré. Leur gouvernance doit être saine, visionnaire, réaliste et réalisable. En RDC, il y a eu des gens qui avaient pris des risques énormes. Ils en payent le prix jusqu’à ce jour à travers des tracasseries. L’histoire renseigne qu’à un moment donné, il y a eu une vraie gouvernance du pays parce qu’il y avait un leadership fort. Le Congolais se rappelle la mise en service de de Congo-Airways, de Transco et du projet Bukanga-Lonzo ainsi que la construction des immeubles pour les ministères, des routes et surtout une prise en charge effective du pays par son Gouvernement.
Le Congolais rêve de voir cette équipe se constituer en force politique et surtout réinitialiser ce programme de Gouvernance. LGD s’inscrit dans ce schéma.
Hugo Tamusa