Il a cru imposer sa loi jusqu’à se faire coopter comme seul et unique candidat 2ème vice-président du bureau de l’Assemblée nationale Finalement Christophe Mboso Nkodia Pwanga, président du bureau d’âge de la chambre basse du Parlement, vient d’être renvoyé aux études au terme des échanges vendredi entre le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, et les députés nationaux, estampillés Union sacrée de la nation (USN). A l’Assemblée nationale, tout est à refaire – du ticket de l’Union sacrée jusqu’à la date de l’élection du nouveau bureau.
Le président du bureau d’âge de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso Nkodia Pwanga, a été renvoyé aux études après avoir tenté d’imposer sa loi en se faisant coopter comme seul et unique candidat 2ème vice-président du bureau de l’Assemblée nationale.
Lors des échanges vendredi entre le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, et les députés nationaux de l’Union sacrée de la nation (USN), Mboso a été clairement désigné comme le grand perdant.
Félix Tshisekedi, autorité morale de la majorité présidentielle, a exigé la révision complète du ticket de l’USN au bureau définitif de l’Assemblée nationale, ce qui a entraîné le report de l’élection prévue pour le samedi 18 mai. Le Président de la République a souligné les principaux défis qui attendent cette législature, notamment la sécurité, les questions sociales et l’emploi des jeunes, appelant à l’éveil de la conscience collective des députés.
Concernant le ticket présenté par le présidium de l’USN, le Chef de l’État a recommandé une révision pour assurer la représentativité de la région de la Grande Orientale et une participation significative des femmes.
Les membres du présidium ont donc été enjoints de se concerter avec les chefs des regroupements politiques pour revoir le ticket du bureau définitif de l’Assemblée nationale.
Face à cette pression, Christophe Mboso a accepté la recommandation du Président Tshisekedi et a annoncé avec regret le report de l’élection du bureau définitif de l’Assemblée nationale.
La page Mboso à la chambre basse du Parlement semble se tourner définitivement, marquant la fin de son règne autoproclamé.
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