Les efforts fournis par la Fédération congolaise de football association (FECOFA) dans la promotion de la femme dans le concert du management du football en général, et du football féminin, en particulier, viennent d’être couronnés avec la reconnaissance par la Confédération africaine de football (CAF) des mérites de Mme Olive Kiloha, membre du Comité exécutif de la FECOFA et présidente a.i. de Ligue nationale de football féminin (LINAF), en l’élevant au rang de membre de la Commission d’organisation du football féminin, Commission permanente de la CAF pour l’exercice 2022-2024. L’acte de nomination a été constaté par une correspondance du siège de la CAF, au Caire, datée du 20 avril 2022 et signée par Véron Mosengo-Omba, secrétaire général de la CAF.
Il va sans dire, qu’avec cette nomination d’un cadre féminin de notre football national, cela honore la femme congolaise à tous les niveaux du sport roi congolais dans la mesure où c’est au nom du président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, que le secrétaire général, Véron Mosengo-Omba, a eu le plaisir d’annoncer à Mme Olive Kiloha, sa nomination intervenue conformément aux statuts de la CAF.
En effet, précise-t-on dans cette correspondance de la CAF, « le président Motsepe a souligné, lors des réunions du Comité exécutif de la CAF, l’importance pour toutes les Commissions permanentes de la CAF de fonctionner et de s’acquitter de leurs responsabilités dans le respect des statuts de la CAF. Ces Statuts (art. 26 (6)) prévoient que le secrétaire général fixe l’ordre du jour des réunions des Commissions permanentes de la CAF. L’ordre du jour et la date de la réunion de la commission d’organisation du football féminin seront communiqués dans les prochains jours ».
Enfin, toujours à travers son secrétaire général, Véron Mosengo-Omba, la CAF a félicité Mme Olive Kiloha pour sa nomination et, en la remerciant par avance pour sa participation et sa contribution au sein de la commission d’organisation du football féminin de la CAF. Tout l’honneur revient ainsi à l’Association membre, la FECOFA et pourquoi pas à toute la région d’Afrique centrale.
Communiqué FECOFA