Dans un communiqué signé, vendredi 18 novembre, par son chargé de communication, le président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo, se dit victime d’«un acharnement doublé de lynchage médiatique et de fausses accusations (…) de la part des détracteurs et des personnes méchantes, peureuses, paresseuses et haineuses».
Agacé, le président du Sénat menace et lance une «sévère» mise en garde, promettant de «se réserver le droit de saisir la justice ainsi que toutes les instances compétentes en vue de sauvegarder sa personnalité et sa dignité». Communiqué.
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