Ignorer les règles diplomatiques en instrumentalisant une certaine Société civile contre le projet Sombwe : un coup d’épée dans l’eau !

Lancement officiel du projet Sombwe par le Gouverneur Jacques Kyabula du Haut-Katanga

Encore un coup d’épée dans l’eau qui ne va nullement remettre en cause la décision du Gouvernement d’accompagner le projet hydroélectrique Sombwe que développe l’entreprise Kipay Energy sur la rivière Lufira, dans le territoire de Mitwaba (Province du Haut-Katanga).

On sait enfin ce qui se trame derrière l’actuelle campagne d’intoxication dans le Mitwaba visant le projet Sombwe, porté courageusement par le Congolais Eric Monga.

La décision du Gouvernement d’appuyer le projet hydroélectrique Sombwe a mis les détracteurs de Kipay Energy – qui se recrutent aussi bien en République Démocratique du Congo qu’à l’étranger – dans tous les états.

Sur place à Mitwaba, on apprend que des équipes, visiblement entretenues et financées sur des fonds extérieurs, se sont déployées dans les villages environnants pour susciter un soulèvement populaire contre ce projet. Pour le moment, quatre villages sont ciblés, à savoir Kyubo, Musabila, Kalera-village et Kalera-gare.

Malgré des milliers d’euros déversés dans cette entreprise de sape, ces villageois ne sont pas prêts à tourner le dos à Kipay. Leur adhésion au projet Sombwe est irréversible.

En effet, les machinations de certaines personnes – aux intérêts peu recommandables – des nébuleuses et certaines ONG internationales ne sont plus à démontrer. Avec l’appui déclaré et appuyé du Gouvernement au projet Sombwe, ces acteurs n’en démordent plus. Ils sont aux abois. Ce qui explique leurs agitations jusqu’à faire part d’une éventuelle opposition d’organisations, dites de la « Société civile », au projet Sombwe, alors qu’ils viennent d’être déboutés dans leur tentative de rallier une  partie des activistes du Grand Katanga.

Leur nouvelle machination?

Depuis la décision gouvernementale du 24 juin 2022, certains activistes et ONG de Goma et Bukavu reçoivent des subsides pour aller dans le Mitwaba et essayer de persuader les populations locales de s’opposer au projet de l’entreprise Kipay.

De quelle société civile s’opposant au projet Sombwe parle-t-on ? Difficile à préciser. Car, derrière cette affirmation, il n’y a rien. Un homme connu dans les parcs du Congo manipule beaucoup. Certains autres dans les représentations diplomatiques se font instrumentaliser ou acceptent de s’allier.

Le Projet Sombwe s’envole !

Le travail sur l’impact du projet se poursuit avec les populations locales et des experts tant nationaux qu’internationaux.

Quoi qu’il en soit, le projet Sombwe a franchi un nouveau palier. N’en déplaise à ses détracteurs. Le soutien total du Gouvernement à ce projet innovant est la preuve que la RDC est prête à prendre son destin en mains. Et ce ne sont ni de vagues pressions internationales, ni les illusions de quelques ONG internationales qui vont la détourner de ce chemin de développement. Ces ONG internationales qui d’ailleurs n’ont effectué ni mission sur le terrain, ni recherches approfondies, ni échanges avec la population et les décideurs locaux!

La revue Mongabay peut bien agiter le monde, elle ne pourra pas arrêter le cours de l’histoire. Comme bien d’autres, Mongabay a aussi été victime de cette désinformation en relayant à trois reprises sur son site des informations non vérifiées.

Le comportement de l’UE pour le moins douteux

Que dire de l’Union européenne qui a décidé de passer outre les us et coutumes diplomatiques en passant outre les canaux officiels pour s’adresser à un Institut, comme l’affirme un article publié sur le site d’infos en ligne 7sur7.cd. En termes simples, ça s’appelle manquer de respect à un pays souverain au lendemain du rapatriement des reliques du Héros national Lumumba.

Dans les rapports entre les Etats, le Gouvernement reste l’autorité suprême. Faire référence à l’ICCN (Institut congolais pour la conservation de la nature) dans un dossier qui relève de la compétence exclusive du Gouvernement central, dénote d’un manque évident de connaissance du pays qui les accueille. Tout comme chercher à distraire l’opinion publique en se basant sur des données faussées et non vérifiées sur le terrain par une étude scientifique, c’est faire preuve de mauvaise foi et de désinformation.

Désinformation contre développement au profit des populations

De ce fait, véhiculer des rumeurs et fonder ces analyses sur de fausses données n’ont qu’une seule visée : manipuler l’opinion. Le développement durable des populations ne leur dit absolument rien.

Heureusement, la Société civile, particulièrement celle du Grand Katanga, n’adhère plus à ce jeu malsain. Mongabay et l’UE devraient vérifier leurs sources. Leur crédibilité en dépend.

Quoi qu’on dise, après l’aval du Gouvernement, réuni en Conseil des ministres, plus rien ne peut arrêter le projet Sombwe.

Ce projet précurseur, initié et piloté par un opérateur économique congolais, ne présente aucune menace pour l’environnement et promeut le développement de l’économie dans cette partie du pays, a fait part au Gouvernement Mme Eve Bazaïba, vice-Première ministre en charge de l’Environnement et Développement durable.

Kipay conduit par ailleurs, en collaboration avec l’ICCN, davantage d’études et des actions sur conseil d’experts nationaux et internationaux pour accompagner la réalisation de ce grand chantier, en phase avec l’impératif de développement durable.

Econews