L’Occident en sursis !

Vladimir Poutine, le Rambo russe, menace d’exterminer le monde occidental. Il a présenté son nouveau missile balistique nucléaire dénommé ‘‘Satan II’’, de très longue portée et de destruction massive. Avec ses douze têtes. La puissance de ce dernier est telle qu’il peut détruire un pays, grand  comme la France, en un claquement de doigts, avec ses 70 millions d’habitants. L’Hexagone et ses voisins peuvent être désintégrés en quelques secondes.

‘‘Satan II’’ est considéré comme la plus puissante arme nucléaire n’ayant jamais existé. Il peut être lancé à plus de 18 mille kilomètres. Il peut atteindre n’importe quel coin du monde. Même les radars sont incapables de le détecter. Un missile hypersonique dont la vitesse est de vingt fois celle du son. Aucun anti-missile au monde ne peut l’intercepter. De quoi faire trembler le monde entier, le monde occidental y compris.

La Russie a ignoré les menaces que la France, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et de l’Allemagne faisaient peser sur elle pour ne pas attaquer l’Ukraine. Moscou est passé à l’attaque en dépit de la misère économique que les Occidentaux lui promettaient. Fort de la puissance militaire de son pays, Vladimir Poutine a montré jusqu’où il peut aller dans sa lutte contre l’Occident. Six jours après, les troupes russes sont toujours en Ukraine. C’est dire que la présentation de ‘‘Satan II’’ peut ne pas être une menace en l’air. Vladimir Poutine vient de dévoiler sa vraie face de va-t-en-guerre. Ses velléités belliqueuses sont mises à nu.

Comme le Nazi Hitler, il n’hésitera pas à user de ses missiles pour prouver aux Occidentaux que la suprématie militaire n’est plus l’apanage de l’Oncle Sam dont les anti-missiles sont inefficaces face à ‘‘Satan II’’. Et ce n’est pas du bluff ou un chantage de mauvais goût, notent des analystes de questions militaires. Qui espèrent que les Occidentaux ne prennent pas à la légère cette sorte d’avertissement de Poutine.

Les mêmes analystes n’apprécient pas l’assistance militaire fournie à l’Ukraine par certains pays d’Europe et s’inscrivent également en faux contre les 100 milliards d’euros que l’Allemagne, via ses députés, vient d’accorder à l’armée ukrainienne pour mener la guerre contre la Russie. Ils préfèrent la poursuite des négociations, comme le demande, curieusement, le Chancelier allemand Olaf Scholz. Qui a justifié l’attitude de son pays par la menace inévitable que représente le Plan Poutine pour l’Europe tout entière.

Il convient de saluer l’attitude de Kiev, qui a repris les négociations avec Moscou, lesquelles ont lieu à la frontière ukraino-bielo-russe. Que les alliés de Kiev emboîtent le pas à leur « protégé » !
Econews