A la suite d’un apport de 250 millions USD de Glencore, Ivanhoe Mines et la Gécamines se mettent d’accord sur le projet minier de Kipushi

Les sociétés Kipushi Corporation SA (KICO), Gécamines SA (Gécamines) et Glencore International AG (Glencore) ont signé, le 27 avril 2023, un term sheet (accord de principe) tripartite en vue d’enlèvement (off-take) et de financement des produits de la mine de Kipushi, dans la province du Haut-Katanga. KICO est détenue à 68 % par Kipushi Holding, une filiale en propriété exclusive d’Ivanhoe Mines, Gécamines détenant une participation de 32 %. Conformément aux termes de l’accord conclu entre Kipushi Holding, KICO et Gécamines, annoncée le 14 février 2022, Gécamines fera l’acquisition d’une participation de plus en plus importante dans KICO, y compris les droits de vote, avec le temps.

Ivanhoe Mines et la Gécamines ont convenu, le 27 avril 2023, des modalités d’enlèvement (off-take) et de financement, permettant à la mine de Kipushi (province du Haut-Katanga), qui présente des teneurs extrêmement élevées, de reprendre la production pour l’enlèvement de la totalité de la production de zinc, en plus d’une facilité de crédit de 250 millions USD soutenue par la société Glencore. Les travaux de construction de Kipushi sont en avance sur le calendrier et la première production est prévue pour le troisième trimestre de 2024.

Les travaux de développement du corps minéralisé Big Zinc sont également en avance sur le calendrier prévu et  les opérations d’excavation devraient débuter en janvier 2024. Les plans se poursuivent en vue de la construction d’un poste frontalier commercial dédié à Kipushi qui permettra de créer de la valeur pour la RDC, à savoir Kipushi et Kamoa-Kakula. Le Projet Kipushi sera alimenté par de l’hydroélectricité propre, conformément à la vision d’Ivanhoe consistant à produire des métaux de façon respectueuse de l’environnement.

Réactions des dirigeants

Robert Friedland et Marna Cloete, respectivement co-président exécutif du Conseil d’administration et présidente de la société Ivanhoe Mines, ainsi que Guy-Robert Lukama Nkunzi et Placide Nkala Basadilua, respectivement président du Conseil d’administration et directeur général de Gécamines, la société minière d’Etat de la République Démocratique du Congo, ont annoncé, le 27 avril 2023, la signature d’un « term sheet » ou accord de principe en vue d’enlèvement (off-take) et de financement devant permettre la reprise de la production à la mine historique de Kipushi qui renferme du zinc, du cuivre, du plomb et du germanium. Par ailleurs, la société Ivanhoe se dit heureuse de présenter une mise à jour sur les travaux de construction réalisés pour le redémarrage de la mine de Kipushi, qui présente des teneurs en zinc extrêmement élevées, en vue d’une première production prévue au cours du troisième trimestre de 2024.

La présidente d’Ivanhoe Mines, Marna Cloete, a déclaré : « Les étapes-jalons que sont les accords d’enlèvement (off-take) et de financement sont essentielles pour être en mesure de reprendre la production à Kipushi dès le troisième trimestre de l’année prochaine. Ces accords témoignent de la solidité de notre partenariat avec la Gécamines et reflètent notre engagement envers la population de Kipushi et de la République Démocratique du Congo. La mine souterraine de Kipushi est appelée à devenir la mine de zinc majeure présentant les plus hautes teneurs au monde, avec une teneur en zinc moyenne d’environ 36 % sur les cinq premières années de production. Par ailleurs, en collaboration avec notre partenaire, la Gécamines, nous poursuivrons nos efforts d’exploration à Kipushi, notamment dans des zones riches en cuivre et en argent. Kipushi rejoindra bientôt Kamoa-Kakula à titre de mine de classe mondiale, au sein de notre portefeuille d’actifs miniers, marquant une nouvelle étape sur notre route visant à faire d’Ivanhoe Mines une société minière diversifiée de premier plan au niveau mondial ».

Le co-président exécutif du Conseil d’administration d’Ivanhoe Mines, Robert Friedland, a ajouté : «En collaboration avec Gécamines, nous nous rapprochons d’un véritable exploit, celui de reprendre la production à la mine légendaire de Kipushi. Lorsqu’Ivanhoe Mines a fait l’acquisition de sa participation dans Kipushi, il y a maintenant presque 12 ans, la mine était inondée et dans un état de délabrement général. Nous saluons les efforts des travailleurs de la Kipushi Corporation qui ont su restaurer ce véritable joyau de la RDC. C’est avec fierté que nous voyons nos travailleurs congolais opérer de nouveaux équipements miniers de pointe en souterrain, pour la première fois depuis une trentaine d’années, alors que nous nous apprêtons à ouvrir la voie vers le Big Zinc, l’un des gisements les plus riches de la planète. Le zinc, quatrième métal le plus utilisé au monde, joue un rôle clé dans le processus de transition énergétique ; on oublie souvent l’importance du zinc, épine dorsale des énergies propres, notamment pour les turbines éoliennes et les panneaux solaires ».

Le président du Conseil d’administration de Gécamines, Guy-Robert Lukama Nkunzi, poursuit : «Nous sommes emballés à l’idée de reprendre la production à la mine historique de Kipushi, avec notre partenaire Ivanhoe Mines. Il s’agit d’un moment très important pour Gécamines, mais aussi pour les communautés locales et la population de la République Démocratique du Congo. Nous avons beaucoup travaillé pour arriver à cette étape clé au sein de ce partenariat innovant que nous avons formé et qui promet de créer une grande valeur pour notre pays. La Gécamines devrait attirer davantage d’investissements à l’avenir pour soutenir la transformation et la création de valeur dans le pays. Le Projet Kipushi, par son caractère inédit, peut constituer un catalyseur pour que Gécamines devienne un acteur important dans la chaîne de valeur du projet et pour le développement des infrastructures de transport ».

Une étape clé vers la reprise de la production à Kipushi

Les modalités d’enlèvement (off-take) concernent l’intégralité de la production de Kipushi, soit 400.000 à 600.000 tonnes métriques sèches par année sur une période de cinq ans. Le term sheet stipule des conditions commerciales internationales standards, concernant notamment les payables et les frais de transformation, sur la base des prix de référence annuels de l’industrie du zinc. Le concentré produit à Kipushi devrait contenir environ 55 % de zinc, avec de faibles niveaux d’impuretés. L’acheteur achètera les produits miniers à la mine de Kipushi sur une base franco transporteur, ce qui signifie qu’il lui incombera d’organiser l’expédition et le transport jusqu’à la destination finale, ces coûts devant être remboursés par KICO.

La facilité de financement à terme de 250 millions USD sera divisée en deux tranches, avec des prélèvements effectués sur une base trimestrielle sous réserve de conditions préalables précises. Cette facilité portera intérêt, sur une base annuelle, au taux SOFR (Secured Overnight Financing Rate, taux de financement à un jour garanti) plus 7 % et sera remboursée, après une période de grâce de 24 mois suivant la signature, par des paiements trimestriels sur une période de 36 mois.

Le term sheet, conclue en vue des accords d’enlèvement (off-take) et de financement, est conditionnel à l’exécution de conventions définitives, liant les parties, qui devraient être conclues en même temps que la nouvelle convention de coentreprise (joint-venture) de Kipushi.

Jusqu’à ce jour, les activités réalisées à Kipushi ont été financées par un prêt d’actionnaire de Kipushi Holding qui, au 31 mars 2023, totalisait 661 millions USD. Le reste des coûts en capital initiaux nécessaires au Projet Kipushi en 2023 et en 2024 se chiffre à 380 millions USD, conformément aux estimations d’Ivanhoe. La société examine actuellement la possibilité d’une facilité de financement bancaire intérimaire pouvant atteindre 80 millions USD.

Les activités minières souterraines progressent en avance sur le calendrier prévu en vue de commencer les opérations d’abattage dans le gisement Big Zinc, qui présente des teneurs extrêmement élevées, dès janvier 2024

Les travaux préliminaires en vue du début des travaux de développement souterrains ont été achevés au cours du troisième trimestre de 2022, en avance sur le calendrier prévu. Ces travaux comprenaient la remise en état et le soutènement d’excavations minières clés, en plus du dynamitage pour les aires de déchargement et de retournement des camions et des voies de dépassement au niveau 1 150 mètres de la mine. Des aires d’entreposage des produits explosifs, un atelier souterrain et un poste d’assemblage de machinerie ont également été achevés en avance sur le calendrier des travaux souterrains, qui ont débuté au quatrième trimestre de 2022.

L’entrepreneur minier souterrain, sélectionné au cours du premier trimestre de 2023, a commencé la mobilisation de ses équipements sur le site. La plupart des équipements du parc minier primaire proviennent d’Epiroc, une firme de Stockholm en Suède ; ces véhicules comprennent six engins de forage, six chargeuses-transporteuses de type benne à godet (scooptram) et 13 camions de transport, ainsi que des équipements secondaires de soutien. Le premier lot d’équipements miniers mobiles a déjà été livré au site.

Les équipements miniers seront descendus par le puits P5 jusqu’au niveau 1 150 mètres. La plus grande partie des équipements primaires et secondaires seront livrés d’ici le mois de juin ; le reste des équipements arriveront plus tard au cours de l’année, lorsque les travaux de développement souterrains s’accéléreront en vue du début des opérations d’abattage au début de 2024. L’abattage est le processus d’extraction du minerai dans une mine souterraine, créant ainsi des espaces ouverts appelés « chambres d’abattage ».

Les travaux de développement sont en cours pour créer un accès au corps minéralisé dit Big Zinc. Un total de 682 mètres de développement horizontal ont été réalisés au cours du premier trimestre de 2023, soit 30 % de plus que prévu. Les travaux de développement sont maintenant en cours pour les galeries périphérique, d’accès et de ventilation à différents endroits entre les niveaux 1 220 mètres et 1 335 mètres ; les travaux de développement de la galerie inclinée se poursuivent suivant un tracé qui est parallèle au gisement Big Zinc. A ce jour, la galerie inclinée a atteint une profondeur de 1 340 mètres.

Le taux de développement était de 227 mètres par mois, en moyenne, au cours du premier trimestre de 2023. Ce taux devrait s’accroître à 300 mètres par mois d’ici la fin du deuxième trimestre de 2023, puis atteindre plus de 400 mètres par mois à la fin du quatrième trimestre de 2023.

Les opérations d’abattage dans le corps minéralisé du Big Zinc, qui présente des teneurs extrêmement élevées, ont été avancées et doivent commencer dès janvier 2024, en avance sur le calendrier initial. La méthode utilisée pour le gisement Big Zinc consistera en une exploitation minière par sous-niveaux vidés en chantiers ouverts (SLOS, sublevel open stoping) transversaux, suivant des séquences primaire et secondaire, avec remblayage au moyen de granulats cimentés permettant de maximiser l’extraction. Ces opérations souterraines seront entièrement mécanisées, économiques et conçues pour permettre une accélération rapide de la production en vue d’atteindre un débit de 800.000 tonnes de minerai par année.

Le minerai et les déchets miniers seront concassés en souterrain, au moyen d’un concasseur à mâchoires primaire récemment installé d’une capacité de 1 085 tonnes/heure, puis transportés jusqu’à la surface par le puits P5. Les travaux visant à restaurer la capacité de levage nominale du puits P5 sont en cours et devraient être achevés au cours du quatrième trimestre de 2023. Le taux de levage sera accru pour passer de 101 tonnes/heure (actuellement) à 257 tonnes/heure (capacité nominale). Une fois à la surface, le minerai concassé sera transporté par convoyeur terrestre jusqu’au concentrateur de Kipushi, où il sera déposé dans les piles de stockage.

L’électricien Ndala Ferdinand effectue une inspection de routine d’équipements électriques près du convoyeur du niveau 1 200 mètres. Ce convoyeur transporte du minerai concassé, présentant une teneur moyenne à faible, ainsi que des déchets miniers minéralisés, depuis les chantiers de développement souterrains vers le puits P5 pour être transportés jusqu’à la surface.

En préparation pour la mise en service du concentrateur, on prévoit entreposer environ six mois de minerai tout-venant dans les piles de stockage afin de diminuer les risques liés à l’accélération de la production. Du minerai concassé présentant une teneur moyenne à faible, ainsi que des déchets miniers minéralisés provenant des travaux de développement, sont actuellement déposés dans les piles de stockage à la surface.

Le concentrateur de Kipushi aura une capacité nominale de 800.000 tonnes de minerai par année et devrait produire 437.000 tonnes de concentré de zinc par année, d’une teneur moyenne de 55 % Zn. La production totale, sur la durée de vie de la mine de 14 ans, devrait être de 10,8 millions de tonnes de minerai présentant une teneur moyenne de 31,9 % Zn (uniquement sur la base des réserves citées dans l’étude de faisabilité 2022), permettant ainsi de produire 3,3 millions de tonnes de métal de zinc dans du concentré.

Le concentrateur comporte des installations traditionnelles de concassage et de criblage, de séparation en milieu dense, de broyage à boulets, de flottation de dégrossissage, d’égouttage des résidus, d’assèchement du concentré et de filtration du concentré. Le concentré filtré est ensaché dans une installation d’ensachage dédiée aux fins d’expédition vers les marchés. Une fois épaissis, les résidus seront pompés jusqu’à une nouvelle installation de stockage des résidus (TSF, tailings storage facility).

Les matières rejetées au niveau de l’installation de séparation en milieu dense seront mélangées à du ciment dans une installation de production de remblai en granulats cimentés ; ce remblai sera alors transporté par des canalisations vers les chantiers souterrains pour servir au remblayage des chambres d’abattage épuisées.

Etat des lieux des travaux

Depuis le début de la construction à la fin août 2022, les travaux ont progressé en avance sur le calendrier et sont à présent achevés à 27 %. Les travaux de conception technique détaillée du concentrateur de Kipushi et des infrastructures connexes en surface ont été achevés. Les activités d’approvisionnement avancent suivant le calendrier prévu et sont achevées à 79 %.

Tous les équipements à délai de livraison long ou moyen ont été commandés et sont en cours de fabrication. Le broyeur à boulets, fabriqué par CITIC Heavy Industries, en est à l’étape de l’inspection finale et devrait être expédié au cours des prochaines semaines. L’installation de séparation en milieu dense, fabriquée par la firme Bond Equipment, devrait être terminée et expédiée le mois prochain.

Les cellules de flottation de dégrossissage, fabriquées par FLSmidth, sont achevées à 24 % et devraient être expédiées à la fin juillet. Les travaux de construction en surface sont achevés à 11 % et progressent en avance sur le calendrier. La plus grande partie des travaux de terrassement et de génie civil sont presque terminés. L’entrepreneur chargé de l’acier de charpente, des canalisations et de la tôlerie a été sélectionné et a effectué sa mobilisation sur le site. Deux tiers des éléments d’acier de charpente ont été commandés ; environ 500 tonnes ont déjà été fabriquées et ont été ou seront bientôt livrées au site.

Un poste frontalier commercial dédié à Kipushi, assurant un accès direct à la Zambie

Kasumbalesa et Sakania, dans la Province du Haut-Katanga, sont les deux postes frontaliers commerciaux par où passent actuellement le plus d’importations et d’exportations à destination et au départ de la Ceinture cuprifère de la RDC. Ces postes frontaliers sont respectivement situés à 110 km et 230 km, par route, au sud-est de Kipushi. Le passage frontalier de Kasumbalesa a connu d’importantes congestions en 2022 ; Ivanhoe Mines, en collaboration avec le Gouvernement Provincial du Haut-Katanga, a travaillé à une série d’initiatives visant à réduire la congestion et à optimiser le processus de dédouanement pour les produits miniers exportés.

L’une de ces initiatives a fait l’objet d’un protocole d’accord conclu au troisième trimestre de 2022 entre la Province du Haut-Katanga et Ivanhoe Mines pour l’étude de différentes options de poste frontalier commercial à Kipushi, à la frontière avec la Zambie.

Un nouveau poste frontalier commercial à Kipushi profitera non seulement à la mine de Kipushi, mais également au complexe minier de Kamoa-Kakula, et tous deux bénéficieront ainsi d’un itinéraire supplémentaire pour exporter leurs produits. De plus, ce passage frontalier produira des avantages socioéconomiques pour la communauté locale de Kipushi et la ville de Lubumbashi, capitale de la Province du Haut-Katanga, située à moins de 20 kilomètres.

De premières études ont été réalisées ; les différentes options qui y sont présentées sont en cours d’examen par le Gouvernement Provincial du Haut-Katanga et font l’objet de discussions avec les autorités nationales de la RDC.

En même temps, du côté zambien, une étude est en cours sur l’amélioration des routes pour être en mesure d’accueillir le trafic commercial en reliant la route nationale T5 à la frontière avec la RDC (voir la figure 1). Le Gouvernement de la Zambie a déjà entrepris des travaux d’amélioration sur certains tronçons routiers ; d’autres travaux d’amélioration des infrastructures et de protection contre les intempéries sont prévus au cours des 12-18 prochains mois.

Santé et sécurité à Kipushi

A la fin du premier trimestre de 2023, la mine de Kipushi a atteint un total de 1 469 552 heures travaillées sans accident entraînant une perte de temps, en plus d’un taux de fréquence des accidents consignables de 1,2 accident par

1 000 000 heures travaillées au cours du premier trimestre. A titre de comparaison, le taux de fréquence des accidents consignables pour 2022 était de 1,9. Il s’est passé plus de cinq mois depuis le dernier accident avec perte de temps au sein du projet.

Kipushi suit l’exemple de Kamoa-Kakula en mettant l’accent sur le recrutement local et la formation progressive de la main-d’œuvre

Environ 1.480 employés et entrepreneurs travaillent actuellement à la construction du Projet Kipushi. Sur les 536 employés à temps plein de Kipushi, plus de 95 % sont Congolais et 11 % sont des femmes. La représentation féminine avait augmenté d’environ 7 % à la fin de 2021.

Un plan est actuellement mis en œuvre pour que les compétences et l’expérience pratique acquises dans le cadre de la construction, de la mise en service et des opérations de Kamoa-Kakula puissent être partagées avec le personnel de direction et d’exploitation de Kipushi.

Certains membres du personnel d’Ivanhoe Mines se rendent à Kipushi et contribuent au renforcement des capacités au coaching et à la formation sur le site ; par ailleurs, des membres clés du personnel de Kipushi se rendent à KamoaKakula pour y acquérir une expérience pratique. Un programme complet de développement des compétences est en cours d’élaboration à Kipushi et devrait être mis en œuvre au cours du troisième trimestre de 2023.

A propos d’Ivanhoe Mines

Ivanhoe Mines, une société minière canadienne, développe actuellement trois projets principaux en Afrique australe, à savoir l’expansion du complexe d’exploitation du cuivre de Kamoa-Kakula en RDC, la construction du projet de classe mondiale de Platreef (palladium, rhodium, platine, nickel, cuivre et or) en Afrique du Sud et le redémarrage de la mine historique de Kipushi (zinc, cuivre, germanium et argent), à teneurs extrêmement élevées, également située en RDC.

Ivanhoe Mines réalise par ailleurs des travaux d’exploration en vue de découvrir de nouveaux gisements de cuivre dans les périmètres de ses permis de recherches, qui sont détenus à 90-100 % par la société et couvrent une superficie d’environ 2 400 km2 dans la zone Western Foreland ; ces permis de recherches sont situés à côté ou à proximité du complexe d’exploitation du cuivre de Kamoa-Kakula en RDC.

Econews