Imputations dommageables et diffamation contre Dan Gertler : Jean-Claude Mputu de CNPAV à la barre, le 20 mars prochain, au Tripaix/Gombe

Le Groupe Ventora l’a promis. Il l’a fait. C’est finalement devant la justice congolaise, spécialement le Tribunal de paix de Kinshasa/Gombe, que Jean-Claude Mputu, porte-parole de l’ONG CNPAV (Congo n’est pas à vendre) et n°2 de l’ONG belge Resource Matters, devra s’expliquer pour toutes les déclarations imputées à l’homme d’affaires israélien, Dan Gertler, qui, selon lui, aurait déjà encaissé près de deux milliards de dollars américains depuis la signature, en février 2022, de l’accord conclu avec la République Démocratique du Congo au titre de royalties. Traqué de toutes parts, Jean-Claude Mputu a fini par ramener ce montant à 60 millions USD, démontrant toute sa mauvaise volonté de nuire, clame le Groupe Ventora. Des contradictions qui jouent finalement en défaveur de Jean-Claude Mputu, obligé de réunir toutes les preuves nécessaires de ses déclarations pour se défendre, le 20 mars 2023, devant la justice.
Pour avoir distillé de fausses déclarations contre l’homme d’affaires israélien, Dan Gertler, Jean-Claude Mputu, porte-parole de l’ONG CNPAV (Congo n’est pas à vendre) et n°2 de l’ONG belge Resource Matters, n’aura pas de jours apaisés jusqu’au 20 mars 2023, jour prévu pour sa première comparution devant le Tribunal de paix de Kinshasa/Gombe. Ainsi en a décidé le Groupe Ventora qui a tient à tout prix d’éventrer le boa pour comprendre les réelles motivations qui se cachent derrière la haine que le CNPAV voue à Dan Gertler.
En effet, tout est parti d’un montant imaginaire de deux milliards de dollars américains que le CNPAV attribuait à Dan Gertler comme encaissements sur ses royalties depuis la signature, en février 2022, de l’accord conclu avec le Gouvernement congolais. Acculé de toutes parts, le CNPAV a finalement ramené ses virtuelles royalties attribuées à Dan Gertler à 60 millions USD, sans pour autant révéler le soubassement de ses calculs.
Depuis lors, le Groupe Ventora réclame des explications à Jean-Claude Mputu et, par ricochet, à l’ONG CNPAV.
Ne pouvant se faire justice, dans le contexte d’un Etat de droit, c’est donc devant le Tripaix de Kinshasa/Gombe que Jean-Claude Mputu devra s’expliquer pour laver le Groupe Ventora de tout opprobre.
Le Groupe Ventora confirme sa plainte dans un communiqué daté du 8 mars 2023.
Selon la citation directe, dont Econews a pu consulter une copie, c’est ce 20 mars 2023 à 9h002 , au Tripaix de Kinshasa/Gombe, que Jean-Claude Mputu doit amener ses éléments de preuve contre Dan Gertler.
La plainte porte en fait sur le contenu de deux interviews publiées dans a média en ligne Deskeco.com, les 28 février 2023 et 1er mars 2023, dans lesquelles Jean-Claude Mputu «a imputé méchamment et publiquement» le patron de Ventora.
Le Groupe Ventora justifie le choix des juridictions congolaises par le fait que les griefs imputés à Jean-Claude Mputu aient été «faites sur un média congolais».
En saisissant la justice, Dan Gertler veut non seulement «obtenir une condamnation avec des dommages et intérêts», mais aussi décourager «ce genre de déclarations loufoques à la recherche du sensationnel qui nuisent à la réputation et pourraient avoir des conséquences fâcheuses sur une personne».
Par cette action en justice, le Groupe Ventora promet également «ne plus laisser la place à des mensonges, ni aux informations erronées produites dans des laboratoires de quelques organisations malveillantes qui induisent en erreur l’opinion nationale et internationale afin de pousser leur agenda de nuisance sur la personne de Monsieur Gertler».

La panique gagne les rangs de CNPAV
La plainte de Dan Gertler confirmée devant le Tripaix de Kinshasa/Gombe, CNPAV et alliés, secoués et pris de panique, jouent désormais la diversion, en faisant circuler sur la toile une lettre qui date du 7 février 2023 que Ventora a clairement mentionnée dans son communiqué du 1er mars dernier. L’opinion publique reste agréablement surprise de la volonté de transparence manifestée par Dan Gertler dans ce courrier. Ce qui met à mal l’ONG CNPAV, prise dans son propre piège.
Quant aux poursuites judiciaires contre le porte-parole de l’ONG CNPAV, Me Céline Tshizena, citée par Lushiactu, se dit prête : «Nous allons nous défendre et présenter nos moyens jusqu’au bout». Le principal incriminé, Jean-Claude Mputu, a, depuis Bruxelles, indiqué, pour sa part, «ne pas avoir peur de cette plainte».
Le rendez-vous est donc fixé le 20 mars 2023 au Tripaix/Gombe entre les deux parties pour faire éclore la vérité sur cette affaire.
Voici l’intégralité du communiqué du Groupe Ventora confirmant la plainte contre Jean-Claude Mputu.

Econews

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